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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd May):
"May est un film autobiographique puisque son auteur, Lucky McKee, était lui même un enfant très solitaire, atteint d'un léger strabisme. (...) Le film n'en est que plus intéressant, car loin des sentiers battus et rebattus des films d'horreur au sens classique du terme, celui-ci y insurge une part bouleversante de réalité." Oh My Gore "May est un film d'horreur au scénario complexe et psychologique, à mi-chemin entre Frankenstein et Donnie Darko. May est une belle surprise, un ovni dans le paysage des films de genre." Critique Film "D'aucuns diront sans doute que le réalisateur a laissé un peu trop de temps morts et qu'il faut attendre l'heure de film pour avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Certes on ne peut pas dire que la première partie du métrage soit particulièrement rythmée, mais McKee pose tellement bien tous les éléments de l'intrigue que l'on ne peut réellement lui en vouloir. Au contraire, on ne peut qu'encenser ce procédé, véritablement original, qui apporte toute son authenticité à l'ensemble." Cinéma Fantastique "McKee définit l'univers de May en composant une atmosphère à la fois féerique et entachée par le sordide de la réalité la plus quotidienne. Imbibée de l'ironie à la fois triste et cruelle de son propos, May se montre, de plus, violent dans ses images. Son metteur en scène a ainsi rarement recours à l'ellipse dans les scènes de violence graphique, qui sont souvent fortes, voire parfois insoutenables (...)." Devil Dead "May est un personnage passionnant, formidablement incarnée par Angela Bettis, révélation absolue. Touchante et effrayante à la fois, imprévisible et cohérente dans sa logique, on ne l'oublie pas. Cet attachement viscéral à ce personnage vient même fausser la perception qu'on peut avoir du film. Derrière la fragilité de la femme-enfant se cache un potentiel de violence déconcertant. Il s'agit probablement d'une volonté manifeste du réalisateur : les tribulations de May choquent d'autant plus que le spectateur s'est attaché à elle. C'est à ce moment que l'édifice savamment construit par Lucky McKee prend toute son ampleur. De ce paradoxe naît toute l'admiration, ou le dégoût, et parfois les deux simultanément, qu'on peut avoir pour May, le film. Susciter deux émotions aussi antagonistes relève en soi de l'exploit." Film de Culte - Yannick Vély "Le réalisateur joue visiblement avec les clichés. On passe gaillardement de l'anthropophagie vampiresque à l'automutilation, de l'homosexualité à la frustration sexuelle, de la poupée style Chucky à la créature de Frankenstein. Le pot-pourri est plutôt rigolo. Sauf que Lucky McKee, chanceux quand il écrit, l'est beaucoup moins quand il filme. Sa mise en scène affadit souvent ses intentions joliment morbides." Telerama - Pierre Murat |
Synopsis usuel:
En dépit des apparences, May Dove Canady n’est pas une jeune femme comme les autres. Introvertie, timide et complexée par un strabisme qu’elle dissimule, elle n’a qu’une seule et véritable confidente : une étrange poupée que ses parents lui ont offerte lorsqu’elle était enfant. May aimerait pourtant être aimée par une personne de chair et de sang. Peut-être Adam, mécanicien et cinéaste amateur dont les mains la fascinent. Ou Polly, une collègue de travail frivole dont elle admire le visage. Deux relations, deux cruels échecs. Déstabilisée, May décide alors de suivre le conseil de sa mère : se fabriquer un amant idéal… |
Sortie ciné : 10 mars 2004 |
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