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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Le Venin de la peur):
"Le Venin de la Peur est une oeuvre belle et troublante, (...) une oeuvre absolument personnelle (...), le tout servi sur un canapé analytique, labyrinthique et schizophrène qui hante longtemps la mémoire." Psychovision "Ce film est surtout connu pour ses séquences oniriques (...) offrant à nos mirettes une Anita Strindberg magnétique, scènes à l'esthétisme et au potentiel érotisant intense." Ecran Bis "Le gros plus du Le Venin de la Peur, hormis sa manipulation psychanalytique fumeuse et son ton anarchiste droitier crachant sa haine de tout, demeure ses trouvailles visuelles." Devil Dead "A travers les scènes de cauchemar et de meurtres, on reconnaîtra aisément le style graphique de Fulci, notamment à travers ses effets de maquillages si reconnaissables. Dans ce film, Fulci oppose deux milieux bien différents, la bourgeoisie londonienne d'une part (...) et les hippies d'autre part, décrits comme des êtres débauchés." Dvd Pas Cher "Il s'agit sans conteste de l'un des meilleurs films du cinéaste italien, souvent critiqué ou méprisé en raison de son cynisme et de sa fascination pour la violence, mais dont on ne peut négliger l'originalité de son style, avec une approche personnelle, moderne et même savante du fantastique et de l'inconscient dans ses films les plus ambitieux. Le Venin de la Peur appartient à une période charnière de la filmographie de Fulci, quand ce dernier va radicalement s'orienter vers l'horreur." Olivier Père "Le Venin de la Peur est souvent plus ou moins rattaché par les cinéphiles au genre dit "giallo", qui est un cinéma italien au carrefour de l'enquête policière, de l'érotisme et du film d'horreur." Guide Rapide "Il est important de préciser que le film, bien qu'il semble en reprendre les caractéristiques dans son synopsis, s'éloigne en tous points des conventions basiques du giallo installées au départ par Mario Bava ou même Dario Argento sur ses premiers films. Ici, pas de tueur aux mains gantées, très peu de meurtres à comptabiliser (deux à peine, dont un au caractère plus ou moins fantasmatique), un canevas d'enquête policière striée de fulgurances onirico-mentales, quelques figures matricielles du giallo à la logique sacrifiée (un suspect citera un « bossu » comme étant le tueur, mais ce ne sera qu'une divagation) et un ton psychanalytique pour le coup inédit dans ce cinéma de genre transalpin." Courte Focale "Fulci livre une histoire somme toute assez banale, tout comme l'est le suspense. Peu de tension au final. Mais il contrebalance et transcende le tout en installant une atmosphère onirique, installant le surréalisme comme mode opératoire." Devil Dead "La sensualité promise par les scènes de lesbianisme (raisonnable) déçoit malgré le trouble que dégage brièvement les échanges entre la féline Florinda Bolkan et de la superbe blonde Anita Strindberg filmée avec délectation par le chaud Fulci." Critique Film "Comme dans beaucoup de films de cette période, le grand problème est le rythme lancinant de l'enquête menée ici par l'inspecteur Corvin (Stanley Baker, délicieusement nonchalant et... siffleur) qui ne semble pas très concerné par son travail même s'il finit par surprendre (...). Le mystère policier est au final raté car tiré par les cheveux, non dans sa résolution mais dans la façon d'y parvenir. Les fausses pistes et les détours du scénario ne sont là que pour embrouiller le spectateur et le perdre dans un récit qui est inutilement compliqué." Critique Film "Fulci sombre de temps à autres dans les facilités de style, proprement inutiles à l'action et à la narration. Les chiens torturés au corps ouvert en gros plan, les viscères exposés, les zooms frénétiques (...). Des scènes au bord du ridicule qui n'en finissent plus (les chauves-souris, l'orgue...) donnent une exagération filmique qui plombent le film et le suspense déjà généré. En gros, il ne sait pas s'arrêter." Devil Dead "Côté opposition entre les bourgeois déviants et les hippies qui vivent librement, cette approche sociale aurait pu être passionnante mais elle n'est hélas qu'anecdotique, ces derniers étant particulièrement ridicules et ridiculisés." Critique Film |
Synopsis usuel:
Carol Hammond, fille d’un célèbre avocat, est la victime d’hallucinations étranges où elle imagine des orgies sexuelles sous LSD organisées par sa voisine, la belle Julia Durer, une actrice à la vie sulfureuse et débridée. A la mort de cette dernière dans des conditions mystérieuses, Carole voit son monde s’écrouler et les mains de la police se refermer sur elle. Arrivera-t-elle à contenir sa folie et ses désirs sexuels insatisfaits ? |
Sortie ciné : 18 aout 1976 |
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