Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Last Knights):
"L'avalanche de séquences d'actions ( évitant la plongée dans le sommeil profond ) tient à bout de bras le film au-dessus de la ligne de flottaison."
Le Journal des Sorties
"Ce qui sauve - un peu - ce long métrage (...) : les costumes et les décors, tous superbes."
canoe.ca
"L'aspect technique de ce projet constitue sa principale qualité. Kazuaki Kiriya trouve dans Last Knights sa première réalisation occidentale. Il ne se laisse pas impressionner par les moyens mis à sa disposition et nous offre quelques bons moments comme lorsque le personnage de Clive Owen massacre à lui seul un couloir rempli d'ennemis, dans un court plan-séquence d'une trentaine de secondes fort stylisé. Néanmoins, le travail de Kiriya ne parvient pas à transcender les faiblesses du scénario."
Cinémasculin
"L'utilisation du numérique [création graphique par ordinateur] est souvent quelque chose que je critique, car les couleurs sont souvent dénaturées à cause de ce genre de choix artistique et pourtant, je trouve que Last Knights a plutôt bien exploité cela, afin de plonger les personnages dans une ambiance froide et grisâtre. De plus, cette ambiance à l'image participe au plaisir que l'on a de voir un récit d'héroic-fantasy. En effet, il y a de ce fait quelque chose de très graphique qui n'est pas sans rappeler les excès d'un 300 par exemple. Il y a des combats dans tous les sens, des scènes d'action plutôt bien maîtrisées mais le vrai problème de ce film c'est malheureusement le scénario de Michael Konyves (...) qui nous donne l'impression qu'il a voulu trop en mettre, quitte à nous donner l'impression que l'histoire n'a plus rien de cohérent à la fin."
Breaking News - delromainzika
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Synopsis usuel:
Au Moyen Âge, dans une vaste contrée multiethnique, le seigneur Bartok est sommé de se rendre au château de l'empereur pour lui rendre hommage. Mais à son arrivée, il froisse l'influent ministre Gezza Mott en refusant de lui verser un pot de vin. S'ensuit un combat au cours duquel Bartok, bien qu'affaibli par une maladie incurable, passe près de tuer le ministre corrompu. Traduit en justice devant l'empereur, le vénérable seigneur est condamné à mort et, à la suggestion de Mott, exécuté par son propre commandant et héritier présomptif, le vaillant Raiden. De retour chez lui, ce dernier, rongé par la culpabilité, renoue avec les démons de l'alcool et repousse son épouse, qui ne le reconnaît plus. Le lieutenant de Raiden, ainsi que ses hommes, n'ont toutefois pas renoncé à se venger de l'infâme Gezza Mott. Lequel, en proie à la paranoïa, a réquisitionné des milliers de soldats pour le défendre.
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