|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Escrocs mais pas trop):
"Cet énième opus allénien témoigne d'un léger revirement, sinon d'un retour en arrière, à l'époque, déjà lointaine, des satires loufoques, des Bananas et autres Prends l'Oseille et Tire-toi. Il s'agit ni plus ni moins d'une comédie populaire, ce que confirme son succès aux Etats-Unis, pays d'habitude très tiède et beaucoup moins fan de Woody Allen que la France." Telerama - Jacques Morice "Woody Allen est un peu à contre-emploi ici et il faut un certain temps pour que son personnage de truand aux goûts vulgaires, et anti-intellectuel au possible, ne soit crédible. Ce film est essentiellement comique mais offre aussi une variation assez truculente sur le thème du nouveau riche. Woody Allen ne se prive pas de donner quelques coups de griffe à l'intelligentsia new-yorkaise et fustige son attitude face à l'argent. Pouvant être qualifié de parenthèse dans sa carrière ou de clin d'oeil à ses débuts, ce film peut sembler moins réussi que d'autres, mais on rit souvent et franchement." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Quel plaisir de voir Woody Allen dans ce rôle de cambrioleur raté qui connaît la célébrité et la richesse grâce à sa femme qui prépare des cookies que tout le monde s'arrache." L'Oeil sur l'Ecran - Elle "Plutôt anecdotique, Escrocs mais pas Trop est pourtant le plus gros succès américain de Woody Allen depuis bien longtemps. Au-delà de la distribution, plusieurs raisons à ce carton. D'abord, le film est largement pompé sur une série fameuse des années 50, The Honeymooners, ancêtre des sitcoms mettant aux prises un couple de prolos de Brooklyn rêvant d'élever sa modeste condition. Scènes de ménage hilarantes, mari entreprenant mais pas très malin, trivialité assumée et méfiance des codes sociaux des gens de la haute : tous les ingrédients des Honeymooners se retrouvent chez Allen." Les Inrocks "Pas grand-chose à raconter sur cette petite farce mignonette du gars Woody, qui passe le temps agréablement mais n'atteint jamais à plus que ça. Pour cette fois, Allen explore le monde des classes défavorisées, et endosse le rôle d'un crétin gentil (...). La première demi-heure est la meilleure (...). Ensuite, le film s'effiloche un peu, (...) peut-être parce que Woody semble un peu condescendant avec cette classe défavorisée qu'il filme. (...) la charge est lourde pour se gausser de ces petites gens : on songe souvent au Molière du Bourgeois Gentilhomme, Woody ayant la même tendance à alourdir le trait de la crétinerie pour mieux nous montrer qu'il est du "bon" côté du manche (entendez ceux qui ont le savoir). Dans sa volonté maladroite de s'instruire, Frenchy apparaît comme une gourdasse vaniteuse : c'est très drôle, on est d'accord, mais aussi un poil hautain, même si, encore une fois, les bourgeois en prennent aussi pour leur grade. Il n'empêche que le film ménage quelques bons moments de bêtise, notamment avec ce personnage de cruchasse au QI d'huitre à qui on conseille de ne parler que météo pour ne pas dévoiler sa crétinerie." Shangols |
Synopsis usuel:
Ray, dit « le cerveau », monte le casse du siècle : avec trois ex-taulards, il s’apprête à creuser un tunnel pour atteindre le coffre d’une banque. Pour détourner l’attention, il transforme la boutique voisine en fabrique de cookies. Très vite, les ventes de pâtisseries se multiplient, l’entreprise devient florissante, et les ennuis commencent… |
Sortie ciné : 6 décembre 2000 Box office France: 1 038 868 entrées cinéma |
|
|