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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Vorace):
"Vorace prend un chemin très différent de tout ce que l'on a déjà vu sur le cannibalisme, et fait l'effet d'une bouffée d'air frais, surtout que (...) le film n'oublie pas d'être intelligent, très bien écrit, et que la réalisatrice (ce qui est assez rare pour le souligner, une femme réalisant un film d'horreur) s'en sort merveilleusement bien, pour ménager le suspense de son film, ou encore lors des scènes sanglantes." Le Blog de rickjacquet.over-blog.com "Vorace est certainement un des films d'horreur les plus originaux et fous produits ces dernières années. Le film s'inscrit dans le sous-genre dit du survival, où les hommes s'opposent entre eux dans le cadre d'une nature hostile, amie ou ennemie dont les rigueurs les poussent dans leurs derniers retranchements." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Vorace ne tourne pas au mièvre sur fond de sujet "sulfureux". La bonne nouvelle, c'est que justement, Vorace ne ressemble pas vraiment aux films déjà faits sur le sujet. On pourrait bien sûr citer certaines influences qui peuvent venir à l'esprit tout au long de l'histoire comme Danse avec les Loups, pour le début de l'histoire, mais à vrai dire Vorace est plutôt unique dans son traitement même s'il brasse nombre de thèmes déjà traités plusieurs fois ! Devil Dead "L'approche quasi naturaliste de la réalisatrice dote l'oeuvre d'un réalisme sensualiste qui vire au déchirement charnel lors d'un final bouleversant de violence et de beauté." Cinéma Fantastique "Guy Pearce et Robert Carlyle favorisent le télescopage émotionnel du spectateur en incarnant des personnalités nébuleuses, vacillant entre ironie, peur, folie et fureur. (...) la bande originale (...) s'avère princièrement employée. Soulignant toute l'audace et le pluralisme de l'oeuvre, elle est tour à tour hypnotique, inquiétante, rassurante voire grotesque. Liée jusque dans son essence au montage, elle assure toute l'articulation et le dynamisme de Vorace." Films-Horreur.com "Ce film magnifique a été un échec au box-office, obligeant Antonia Bird depuis lors à cantonner ses dons de mise en scène au petit écran... On peut raisonnablement penser qu'un film montrant la conquête de l'ouest comme une volonté de puissance douteuse, une façon de dévorer son prochain, n'a pas été pour rien dans ce rejet, le public américain préférant danser avec les loups pleurnichards de sa bonne conscience. [référence à Danse avec les Loups]" Horreur.com "Si l'accueil commercial de la dernière percée cinématographique d'Antonia Bird fût catastrophique, son envoûtante étrangeté et l'intelligence de son scénario en ont fait, des années plus tard, un film-culte. Injustement méconnu, Vorace est - au-delà d'une réflexion sur la déchéance de la culture face à la barbarie - le témoin d'une époque qui semble s'éloigner... époque où des artifices prémâchés ne revenaient pas continuellement gifler les joues charnues de spectateurs atones..." Films-Horreur.com "Sur le thème de l'anthropophagie, Vorace y va franco. Du dépeçage à la préparation en ragoût ( ! ), on suit la chaîne de l'alimentation. C'est d'ailleurs, on ose le dire, l'un des atouts de ce film, de jouer la carte du réalisme cru en sachant créer un climat d'angoisse. (...) hélas, ça pèche du côté du scénario, bien trop frugal, et de la mise en scène, à l'inverse, lourdingue. Antonia Bird désamorce trop souvent la tension inhérente au sujet par des notes d'humour noir appuyées et agaçantes. Comme si elle avait elle-même peur d'aller trop loin dans la transgression. Du coup, on reste sur notre faim. Un comble." Telerama - Jacques Morice "(...) trois réalisateurs se succèdent derrière la caméra, le dernier (Milcho Manchevski) ayant subitement quitté le tournage en se plaignant du producteur exécutif par rapport au budget et au planning. Antonia Bird a donc du composer avec ce qui avait déjà été établi par ses prédécesseurs, d'où certaines petites incohérences superficielles." Sadique Master |
Synopsis usuel:
Le capitaine John Boyd est un lâche. Au coeur des violents conflits qui opposent les Etats-Unis, un sanglant malentendu en fait un héros. Son supérieur n’est pas dupe et l’envoie aux confins enneigés et sauvages du pays dans une compagnie constituée de singuliers personnages. John Boyd est entraîné dans une enquête par l’étrange Colqhoun, qui déclare que ces co-voyageurs ont été victime d’un cannibale rendu fou par le froid. Mais qui est cet assassin vorace ? |
Sortie ciné : 7 juillet 1999 Box office France: 35 476 entrées cinéma |
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