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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Quo Vadis):
"Si cette super production n'atteint pas la qualité des meilleures du genre, elle n'en reste pas moins assez remarquable, ne serait-ce que par l'ampleur des moyens mis en oeuvre. Certaines scènes sont vraiment impressionnantes (la foule, l'incendie, etc..). Le scénario est moins riche que celui d'autres péplums, le rythme est souvent un peu lent et l'on sent que l'accent a été mis sur la romance et le spectaculaire." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Le succès du film sauve la MGM, alors au bord de la faillite et relance le genre du péplum." Ciné Club de Caen "Grande prise de risque pour la MGM avec un budget colossal et un tournage à Cinecitta (en ruine durant l'après guerre et reconstruit par la MGM pour le film ce qui contribuera aux renouveaux de ses studios mythiques), le film est le précurseur de toutes la vague de fresques épique et bibliques qui vont envahir Hollywood durant les années 50." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Très grand film, même si on a fait mieux dans un registre similaire quelques années plus tard avec Les Dix Commandements, Quo Vadis reste un film marquant du genre." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Ce peplum est tout bonnement époustouflant ! Depuis plusieurs années, je m'intéresse de près à ce genre cinématographique très particulier, méprisé par la critique, adulé par le public. Quo Vadis, sans atteindre au chef d'oeuvre, est sans doute l'un des meilleurs que j'aie jamais vus. Cette oeuvre colle au plus près de l'oeuvre d'Henry Sienkiewicz en s'autorisant quelques libertés bienvenues : avec un scénario de départ aussi génial, le film partait sur de bonnes bases. Robert Taylor incarne à merveille le soldat romain violent et brutal, et Déborah Kerr, qui joue le rôle difficile de la jeune chrétienne, parvient à lui donner beaucoup de présence ; leur couple semble plus crédible à l'écran que dans le livre, et les tourments de l'un et de l'autre nous les rendent attachants - les deux personnages symbolisent en effet le conflit entre les valeurs païennes et les valeurs chrétiennes, Vinicius ayant du mal à renoncer aux premières pour adopter les secondes, et Lygie peinant à concilier son amour et sa foi, alors qu'elle est très attirée par Vinicius. Mais le film n'aurait que peu d'intérêt sans la présence de personnages secondaires - la serpentine et venimeuse Poppée, jouée par Patricia Laffan, qui manipule Néron et les hommes à sa guise, tout en faisant preuve d'une cruauté extrême ; - Néron lui-même, joué par Peter Ustinov, qui oscille entre cabotinage et talent : son Néron est plus vrai que nature : ses ridicules font rire, sa folie fait peur, et sa solitude extrême fait pitié. Il a à la fois quelque chose de grand et d'enfantin, une dimension sublime et dérisoire - Pétrone, joué par Leo Genn, qui incarne "l'arbitre des élégances", homme de cour brillant qui aime à jouer avec le feu avec Néron, ne se privant pas de l'abreuver de sarcasmes tout en maniant habilement la flatterie." Le Blog de Mss Popila "(...) celui qui vole presque le film, c'est Peter Ustinov en Néron, à la frontière entre le gros cabotinage et le génie. Pitoyable, monstrueux, ridicule, terrifiant, c'est un Neron haut en couleur se croyant au dessus des hommes, croisement entre amusement enfantin et pulsion sanguinaire, qui va faire brûler Rome par seule vocation artistique." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "LeRoy décrit avec un beau pouvoir d'émerveillement le christianisme émergent, avec un bel usage de l'iconographie chrétienne (...). Croyant ou pas, on ne peut qu'être captivé, porté par le score parfait de Miklos Rosza. LeRoy parvient à trouver le ton juste et éviter l'emphase qui peut gâcher d'autres films biblique un peu trop pieux pour le cinéphile qui n'en demande pas tant." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Abandon au bout d'une heure. J'ai trouvé la mise en scène vieillie et artificielle et le scénario peu intéressant et mièvre. De la guimauve hollywoodienne. Peut-être n'étais-je pas dans un bon jour..." L'Oeil sur l'Ecran - Elle |
Synopsis usuel:
Sous la fin du règne de Néron, le consul Marcus tombe amoureux d’une jeune chrétienne condamnée à finir dans l’arène, Lygia. Son protecteur Ursus la sauvera de la jalousie de Poppée, tandis que Marcus lance les légions romaines contre Néron… |
Sortie ciné : 1er octobre 1953 Box office France: 6 305 593 entrées cinéma |
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