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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray L'Homme de la plaine):
"L'Homme de la Plaine marque l'apogée du cinéma classique américain. La violence et la complexité de l'histoire, sorte de transposition westernienne du Roi Lear, est constamment équilibrée par la limpidité de la mise en scène et l'utilisation géniale des décors naturels, sublimés par le CinémaScope. James Stewart est admirable, comme d'habitude (...)." Les Inrocks "L'Homme de la Plaine, c'est le classicisme dans ce qu'il peut avoir de plus noble : mise en scène majestueuse, beauté de la photographie et personnages dignes et profonds. Un grand western introspectif." Avoir Alire "Dernier des cinq westerns tournés par Anthony Mann avec James Stewart, L'Homme de la Plaine est peut-être le plus beau (à égalité avec Winchester 73). « Je voulais récapituler mes cinq années de collaboration avec lui. J'y ai repris des thèmes et des situations poussés à leur paroxysme », expliquait le réalisateur. (...) Le scénario a la sombre beauté et l'éclat sauvage des tragédies classiques." Telerama "(...) Toute la maestria cinématographique d'Anthony Mann éclate dans cette séquence d'ouverture anthologique, peut-être l'une des plus belles de l'histoire du cinéma. A travers une appréhension absolument inouïe de l'espace, quelques plans rigoureux, découpés avec virtuosité, lui suffisent à transcrire l'accablement de son héros, à cerner ses motivations, en quelques mots, à mettre en place son intrigue sans recours à de fastidieuses scènes d'exposition. De fait, L'Homme de la Plaine fait partie de cette poignée de westerns miraculeux devant lesquels, immédiatement, l'amateur du genre pressent presque par instinct qu'il a affaire à une œuvre exceptionnelle, l'un de ces films qui vous happent dès le générique pour ne plus relâcher son emprise durant toute la projection, et bien au-delà encore." Dvd Classik "Servi par une écriture tout en finesse, L'homme de la plaine utilise un prétexte qui colle au genre - la vengeance - et en détourne un à un tous les codes. Ainsi, le gentil, incarné par un James Stewart visiblement fatigué, ne fait que subir l'action au lieu de la provoquer. Le jeu de l'acteur, sobre et évocateur à la fois, nous en dit long sur le dégoût qu'éprouve son personnage envers toute forme de violence gratuite." Avoir Alire "C'est au fur et à mesure des dialogues que les personnages, y compris les indiens, révèlent une personnalité généralement éloignée du manichéisme des débuts du genre." Devil Dead |
Synopsis usuel:
Ancien capitaine de cavalerie, Will Lockhart ne poursuit qu’un seul but dans la vie : démasquer celui qui, en livrant des armes aux Apaches rebelles, a provoqué la mort de son jeune frère. Il le découvre en Alec Waggoman, un propriétaire prêt à tout pour étendre son ranch… |
Sortie ciné : 30 novembre 1955 Box office France: 1 662 319 entrées cinéma |
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