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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Les Délices de Tokyo):
"A travers la cuisine, envisagée comme une ascèse spirituelle, à l'instar de l'art de composer des bouquets ou de manier le sabre, c'est à une magistrale leçon de vie et de poésie que nous convie ce film initiatique aux teintes aussi subtiles que celles des cerisiers en fleur." Paris Match "Les Délices de Tokyo est un film bouleversant et qui donne l'appétit." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Un film japonais se déguste tel un met savoureux. On sait qu'il nous fera pleurer avant d'arriver à la fin. Et Les Délices de Tokyo n'échappe pas à la règle." Small Things "Ce bijou d'émotion et de poésie est peut-être le film le plus accessible de Naomi Kawase. Il a fait l'ouverture de la section Un Certain Regard de Cannes 2015." Avoir Alire "Tout coule, sans aucun gros plan gênant ou discours balourd. Naomi Kawase filme avec délicatesse les haricots en train de mijoter, les arbres, l'échoppe, les visages... Oui, il y a des moments contemplatifs, presque de méditation dans ce Kawase. Mais non, ce n'est pas interminable ou vain. Vous serez ému(e) par cette histoire, mais cette émotion viendra naturellement." Les écrans de Claire "Naomi Kawase signe une réalisation toute en délicatesse qui suit le temps des saisons du Japon contemporain. A l'écoute de ses acteurs, elle livre des images de cuisine saisissantes qui sont parfois tournées comme un thriller." Unification France "Les Délices de Tokyo représente en toute élégance le cinéma nippon. Sobre et touchant, intergénérationnel et social. Les seniors qui cherchent un emploi posent un véritable problème au Japon, avec un loyer trop élevé surtout à Tokyo, ils doivent travailler bien après la retraite, souvent dans des postes peu reluisants pour arrondir les fins de mois." Small Things "Les Délices de Tokyo n'est rien d'autre qu'un énième poème filmique de Kawase, camouflé sous des apparences plus mainstream, une fable chatoyante qui joue avec douceur sur le caché/montré. Chaque personnage a une faille, un secret, que le film, sans échapper parfois à un côté attendu, laisse remonter à la surface non sans douleur mais avec douceur." L'Obs "Cette adaptation d'un roman de Durian Sukegawa ouvre un univers d'étonnants contrastes. Il y a la douceur presque sucrée de Tokue, tendre comme ses gâteaux. Mais aussi la douleur secrète qu'elle porte en elle et qui fait resurgir un passé tabou : l'époque où le Japon condamnait à l'enfermement les malades de la lèpre. Chaque existence est faite de blessures. Le vendeur de dorayakis en cache, lui aussi, plus banales, mais non moins lourdes à porter." Telerama "Certes, Naomi Kawase n'a pas perdu son talent - elle filme très bien les pensées de son personnage principal, Masatoshi Nagase (...) - mais pourquoi se sent-elle obligée de tout surligner, de tout expliquer, voire de tout surexpliquer sans cesse, parfois plusieurs fois, à coups de petites musiques tristes, de dialogues inutiles et répétitifs qui ne font que décrire ce que l'image montre si bien (...)." Les Inrocks "Les Délices de Tokyo est un film tourné avec beaucoup de savoir, avec de vrais moments de pure beauté, mais il souffre d'un surtexte trop important, trop prévisible et souvent inutile. La cinéaste a par ailleurs voulu rendre hommage dans son film à une minorité que les japonais ont longtemps tenu à l'écart de la société (Tokue fait partie de cette minorité), et il y a un télescopage maladroit entre cette histoire et celle plus intimiste de Sentaro et de ses deux partenaires. Cet hommage n'est ni inintéressant, ni inutile, mais les deux parties du film semblent avoir été accolées l'une à l'autre de manière un peu heurtée, sans beaucoup de liant, ce qui donne l'impression que le film est calibré à marche forcée pour une audience large et grand public, avec des thématiques destinées à émouvoir le plus grand nombre." Ciné Séries Mag "Emprunt d'une pudeur folle, Les Délices de Tokyo fait dans la chronique existentielle éthérée, dans le culte de la vie, dans ce putain de bonheur introuvable qui se cache dans un putain de beignet... Malheureusement, Naomi Kawase nous balance tout ça avec un maniérisme épuisant, où chaque plan dépouillé à l'extrême hurle à s'en faire exploser les tympans, son minimalisme génial lourd de sens sur notre pathétique société déshumanisée toussa c'est triste holalala c'est triste où que y a plus que des personnes qui peuvent plus communiquer tellement qu'elles sont prisonnières de leur passé, de leur famille ou écrasées par un état toujours prompt à bannir ses pestiférés..." Daily Mars - Docteur No |
Synopsis usuel:
Les dorayakis sont des pâtisseries traditionnelles japonaises qui se composent de deux pancakes fourrés de pâte de haricots rouges confits, « An ». Tokue, une femme de 70 ans, va tenter de convaincre Sentaro, le vendeur de dorayakis, de l’embaucher. Tokue a le secret d’une pâte exquise et la petite échoppe devient un endroit incontournable… |
Sortie ciné : 27 janvier 2016 Box office France: 309 838 entrées cinéma |
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