|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Les Dents de la mer 3):
"Les Dents de la Mer 3 n'a rien d'un mauvais film tel que l'on s'évertue à vous le faire croire depuis des années. (...) A la place d'une station balnéaire, l'action prend place dans un parc d'attraction aquatique bondé de visiteurs. Grâce à cela, ainsi qu'a de nouveaux personnages, Les Dents de la Mer 3 ne tombe pas dans la redite tout en proposant une variation fort sympathique." Devil Dead "Les Dents de la Mer 3 est un gros nanar, mais demeure un petit plaisir coupable." Salles Obscures 2 "(...) le film contient quelques séquences ridicules voire grotesques, la faute revenant à la 3D elle-même, utilisée ici comme un vulgaire gadget. D'ailleurs, la fin du film nous proposera un gros plan sur la mâchoire de la créature en 3 dimensions. Autre scène nanardeuse : (...) un plongeur a le temps de dégoupiller une grenade alors qu'il est dans la gueule du requin. Bref, Les Dents de la Mer 3 est l'épisode de trop. Malheureusement, la franchise se poursuivra et continuera de sombrer dans la médiocrité." Naveton Cinéma "La franchise tombe bien bas avec ce troisième volet dépourvu du moindre intérêt et symptomatique des dérives d'un certain cinéma commercial des années 80." Avoir Alire "Joe Alves, décorateur, espérait rameuter les foules dans les salles après un deuxième opus décevant grâce à l'apport de la 3D (le film s'intitulait intelligemment Jaws 3(D)). En ce temps-là le procédé devait coûter un bras (...). Les producteurs des Les Dents de la Mer 3 avaient pour ambition de nous en foutre littéralement plein la vue, projet qui culminait dans l'ultime séquence du film, faite pour donner la sensation à chaque spectateur qu'il ressortirait de la salle avec un collier en dents de requin. (...) les maquettistes ont légèrement dépassé les limites du raisonnable en créant un mégalodon digne d'une métropole vivante. Les sonars ne le détectent pas car les appareils le considèrent comme un pays, un continent à part entière, et par ailleurs des yeux si petits ne peuvent pas guider un si gros cul, les lois de la science sont ici bafouées et les dimensions du requin le font passer pour un con. N'empêche que ce gros tas nous envoya son immense gueule dentée au visage dans le dernier plan du film, prête à engloutir toute une base sous-marine et tout le public du film au passage dans ce qui restera comme l'un des "finale" les plus ridicules et les plus marquants de l'histoire du cinéma." Il a osé ! "Les effets spéciaux sont ratés et d'une laideur incommensurable. (...) A quelques semaines de la sortie officielle du film, Landsburg abandonna 95% du travail déjà effectué et laissa à une société d'optique le soin de bâcler ce troisième volet. La suite, on la connait : des plans non finalisés seront intégrés au montage final, la scène du requin brisant la vitre deviendra culte de par sa médiocrité et la vidéo s'imposera avec le temps..." L'Express "Le film souffre de lenteur impensable on s'ennuie au lieu d'avoir peur, le requin est plus risible que terrifiant, sa lenteur (et oui lui aussi) est impressionnante, il ne bouge même pas. Les attaques du requin ne sont guère plus intéressantes, juste un peu de sang dans l'eau et c'est tout, il épargne bien trop de monde ce qui est un comble dans ce genre de film." Avenue de l'Horreur |
Synopsis usuel:
Le nouveau parc d’attraction de Floride « Le Royaume sous-marin » - un dédale de tunnels en plexiglas - est attaqué par une femelle requin blanc géante, prête à tout pour assouvir sa soif de vengeance… |
Sortie ciné : 21 décembre 1983 Box office France: 1 158 873 entrées cinéma |
|
|