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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie The Goddess of 1967):
"The Goddess of 1967 est un très beau voyage au coeur d'une Australie imaginaire. (...) le film fera plaisir au spectateur un tant soit peu curieux et adepte de films à forte singularité." Cinémasie - Alain "A cet univers complètement imaginaire vient se mêler une bande-son et une musique envoûtante qui accentue encore plus le trip qu'on a à la vision de ce film, le ryhtme délibérément lent de l'histoire s'accordant parfaitement avec cet état de fait. Si il y'a aussi un facteur qui rend le film mémorable, c'est l'icône aussi bien à un niveau visuelle que narratif du personnage de Rose Byrne et de ses cheveux rouges qui traverse et devient le coeur du film." Cinémasie - Alain "De belles émotions naissent à la vue de cet ovni formidable (...) les images splendides défilent. La photo est à tomber, les paysages magnifiques et le jeu effectué sur les couleurs tout bonnement renversant. Pour le reste, soyons gaiement voyeurs lorsque Rose se met à danser en nous incrustant une ballerine dans la rétine pour l'éternité, et sachons également apprécier le traitement de cette histoire, original et doux, qui transforme une vengeance, une Charles Bronson’s engeance, en vivante chamanerie." Cinémasie - Arno Ching-wan "Pour les extérieurs c'est bien simple, c'est à se damner et il ne serait pas étonnant de savoir que le film ait bénéficié d'un retouchage intégral lors de sa phase de post-production car la couleur et la luminosité de chaque éléments contenus dans les plans bénéficie d'une perfection absolue(même le ciel semble tout droit sorti d'un rêve) et on rajoute à ça la réalisation somptueuse de Clara Law comme lors de ce plan en plongée sur Rose Byrne enfant dormant au pied d'un arbre ou d'une scène de danse fabuleuse." Cinémasie - Alain "Un jeune Japonais rencontre une fille aveugle, hantée par son enfance douloureuse. Ils entreprennent ensemble un voyage libérateur que Clara Law cherche à rendre décalé et fantasmagorique, à coups d'images archicomposées, de récit déconstruit et de révélations gigognes. Lorsque le pathos ostentatoire du scénario relaie les effets de manche de la réalisation, cela fait vraiment trop." Telerama - Louis Guichard "(...) c’est un peu confus. Visuellement, c’est intéressant, pourtant, son ambiance semble trop froide et sans âme. Malgré tout, ce n’est pas les thèmes sérieux qui manquent, isolation urbaine, inceste, meurtre, amour, rédemption et revanche, mais le souci, c’est qu’ils ne sont pas exploités de manière aussi sérieuse qu’on aurait pu l’attendre." Kurosawa Cinéma "Ce road-movie clippé sert de théâtre aux minauderies graphiques de la cinéaste sur la couleur et le cadre qui incluent l’emploi de transparences très arty pour figurer le paysage vu de l’intérieur de la DS. La dimension narrative est reléguée dans des flashes-back indépendants où l’on remonte chronologiquement le passé forcément sordide de l’héroïne et de sa famille. Sérieux s’abstenir." Les Inrocks - Vincent Ostria |
Synopsis usuel:
JM (Rikiya Kurokawa), un jeune employé de bureau japonais, mène une existence paisible et solitaire à Tokyo. Il n'a pour seule compagnie que deux serpents rares et rêve de posséder une DS, la Citroën légendaire des années soixante. Grâce à Internet, il entre en contact avec un vendeur potentiel et s'envole pour l'Australie afin de conclure l'affaire. Cependant, à son arrivée à l'aéroport, JM ne trouve personne. Quand il se rend chez son mystérieux interlocuteur, il le voit mort avec son épouse, sans doute après une querelle pour des questions d'argent. Il découvre également une jeune fille aveugle, BG (Rose Byrne), qui surveille un enfant. Celle-ci invite le visiteur à essayer la DS. Ce dernier s'exécute aussitôt et tombe sous le charme. BG lui explique que la voiture n'était pas à vendre par l'homme retrouvé mort et lui propose de l'amener auprès du véritable propriétaire. JM accepte et ces deux âmes isolées se lancent dans un voyage qui les conduira au coeur de la campagne australienne ainsi que de leur propre passé. |
Sortie ciné : 18 juillet 2001 |
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