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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Le Fils d'Elias):
"A travers le regard de son personnage central (qui est aussi narrateur en voix off), Burman brosse une série de portraits plus vrais que nature. Il y a le vieil Osvaldo qui ne vend plus rien, les Italiens réparateurs de radios, les Coréens vendeurs de "feng-shui" et bien sûr l’imposante mère juive dans sa boutique de sous-vêtements. Les coups de gueule et les conversations enflammées fusent et on se laisse mener avec délices dans ces touchantes tranches de vie où se mêlent humour et tragédie, vérité et mensonge." Avoir Alire - Thomas Delord "Avec ce drôle de carnet de bord identitaire, filmé caméra à l'épaule, incisif à chaque seconde, le jeune Argentin Daniel Burman (...) affirme un style. Un regard à la fois cinglant et tendre, suffisamment proche de ses personnages pour en extraire tout le jus d'humanité, et suffisamment distancié pour pouvoir rire de son sujet." L'Express "Visiblement, Daniel Burman aime un cinéma tout de douceur et de liberté. Il se faufile avec agilité dans les états d'âme de ses personnages et rend attachantes leur perpétuelle joie de vivre et leur incessante mélancolie." Telerama - Pierre Murat "Tourné entièrement caméra à l’épaule, Le Fils d'Elias peut laisser croire à un film amateur par ses incessants mouvements mais il n’en est rien, c’est du grand cinéma, tant pour la minutie et l’intelligence de sa mise en scène que pour la brillante interprétation de ses protagonistes." Avoir Alire - Thomas Delord "Durant les premières minutes, il est un rien agaçant, ce parti pris de filmer caméra à l'épaule en collant à ce héros immature. Et puis, on ne le remarque plus, tant ce qu'on voit est sensible, vrai, juste." Telerama - Pierre Murat |
Synopsis usuel:
Qu’est-ce qui pousse Elias à rentrer au pays après 30 ans d’absence ? Et qu’est-ce qui fait courir Ariel, le fils d’Elias ? Dans la galerie marchande du quartier juif de Buenos Aires, Ariel, doux rêveur de trente ans, supporte mal l’intrusion dans sa vie d’une mère juive plus vraie que nature. Il se console dans les bras de la pulpeuse Rita. Et quand il est pris d’un vrai coup de blues, il reprend sa course effrénée à travers la ville, comme s’il voulait échapper à Elias, ce père haï qu’il n’a jamais connu… |
Sortie ciné : 21 avril 2004 Box office France: 104 366 entrées cinéma |
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