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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Synecdoche, New York):
"Synecdoche, New York est une oeuvre totale, portée par des questionnements philosophiques fondamentales et existentielles. Avec ce film d'une sombre beauté, vertigineux et fascinant, Charlie Kaufman dépose une pierre angulaire de sa filmographie." Le Blog du Cinéma - Sofiane "Formidable mise en scène, inventivité débordante et réalisation dynamique, Charlie Kaufman crée une oeuvre grandiose." Le Blog du Cinéma - Sofiane "Comme son titre, Synecdoche, New York est d'un abord complexe (...). A un niveau de lecture plat, nous suivons les quarante dernières années de vie de Caden Cotard (joué par Philip Seymour Hoffman), présentées linéairement mais dans un chaos temporel et symbolique constant. Dès la scène d'ouverture (un petit déjeuner en famille) trois mois s'écoulent entre le levé et le départ au travail. A l'inverse, les dix ans que Caden passent avec sa seconde femme sont expédiés en cinq plans, de la rencontre à la rupture. La logique qui préside à ce récit est celle des rêves ou des cauchemars, au point que l'on s'attend à voir le héros se réveiller d'un instant à l'autre. Mais ça n'est jamais le cas, et c'est là une saine intuition de la part Kaufman, qui prétend approcher, dans son travail, une forme de vérité du monde : ce temps incertain est celui de notre existence même." Cinétrange "Au passage, il faut saluer la direction artistique quant à la qualité des maquillages et autres effets spéciaux utilisés pour vieillir les acteurs. C'est en effet, le seul moyen de se repérer dans la fresque chronologique du film. Il est très difficile de suivre ce labyrinthe temporel, se distordant au gré des scènes." Le Blog du Cinéma - Sofiane "Le scénariste Charlie Kaufman passe à la réalisation avec une oeuvre gigogne déconcertante, dont on retient surtout la beauté des décors surréalistes et le sentiment latent de dépression qui en découle. (...) Kaufman développe un script nébuleux où chacun change de nom et de visage, et où les métamorphoses troublantes sont multipliées par des mises en abîmes ahurissantes, à l'échelle d'un entrepôt de 18km de long pour accueillir la reconstruction d'un quartier de New York." Avoir Alire "Caden [le héros du film] va mettre en scène sa propre vie. Dans cet immense entrepôt, Caden va faire construire des immeubles et des routes. Dans son choix d'acteurs et de figurants, Caden va recréer de toute pièce ses relations sociales (...). Caden va mesurer ses échecs, analyser sa vie à travers cette vie 2.0. La réflexion est donc poussée à son paroxysme. Que pouvons-nous améliorer dans notre vie si l'on prend le temps de l'analyser sans nous voiler la face ? Pouvons-nous comprendre nos énormes ratés ? Que pouvons-nous dire aux personnes qui ont marqué notre vie avant qu'il ne soit malheureusement trop tard ? Autant de questionnements métaphysiques portées par le sens de l'allégorie et de la mise en abyme dont il appartient à chacun d'observer avec recul, son propre jugement. Par ce procédé et aussi par sa direction d'acteurs, Charlie Kaufman construit une empathie maximum avec le spectateur." Le Blog du Cinéma - Sofiane "Cette réflexion alambiquée sur la création est livrée au cabotinage sans limite de son acteur principal. (...) Particulièrement éprouvantes, les deux heures de Synecdoche sont un sommet de vacuité, un parangon de cinéma sous cloche qui, (...), finit par étouffer, nous étouffer." Les Inrocks - Jacky Goldberg "Kaufman a vu trop grand : il s'emmêle peu à peu dans le fatras d'une représentation gigogne boursouflée et absconse." Telerama |
Synopsis usuel:
À Schenecdaty, New York, la vie du metteur en scène de théâtre Caden Cotard est au point mort. Sa femme Adèle l’a quitté pour une carrière de peintre à Berlin, emmenant avec elle leur petite fille Olive. Une nouvelle liaison avec la séduisante et directe Hazel échoue avant d’avoir commencé. Et une maladie mystérieuse bloque systématiquement toutes les fonctions autonomes de son corps. Pressé par la peur de mourir prématurément, Caden décide alors de tout quitter. Aspirant à créer une oeuvre d’une intégrité absolue, il rassemble quelques comédiens dans un entrepôt de New York, et les met en scène dans une célébration de l’ordinaire, demandant à chacun de vivre une vie artificielle dans une maquette de la ville… |
Sortie ciné : 1er avril 2009 Box office France: 5 747 entrées cinéma |
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