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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Café Society):
"Café Society est la chronique irrésistible d'une histoire d'amour manquée. Avec un couple d'interprètes d'une grâce inouïe. Woody Allen magnifie les amours impossibles." Les Inrocks "Bobby tombe fou amoureux de la belle Veronica. Un amour absolu. Un amour compliqué. Un amour impossible. Les deux amants se trouvent pris au piège d'un triangle amoureux se muant inexorablement en tragédie flamboyante comme seul Woody Allen sait les imaginer. (...) Lui seul est capable de métamorphoser cette histoire éculée d'amour impossible en ode bouleversante et universelle à la vie. Et à la femme..." Daily Mars - Docteur No "Woody Allen ne résiste pas au charme ni à la beauté de Kristen Stewart. C'est simple, les sourires de la comédienne provoquent des micro-séismes, tout comme ses regards fuyants disent quelque chose de profond." Lci TF1 "Voir le pauvre Bobby découvrir l'identité de son rival, contempler Vonnie s'empêtrer dans ses sentiments, hésitant entre raison et aventure, procure un plaisir d'autant plus délicieux que Woody - n'en déplaise à ses quelques détracteurs - invente et progresse de film en film (...). L'égal, désormais, des grands réalisateurs hollywoodiens qu'il admire et dont il s'est toujours senti indigne. Récemment, Blue Jasmine rivalisait avec le brio de Joseph L. Mankiewicz. L'Homme irrationnel, avec le cynisme de Billy Wilder. Dans Café Society, le voilà tout proche du Maître absolu, Ernst Lubitsch, l'auteur de Sérénade à Trois et de Ninotchka, celui dont on n'a jamais totalement réussi à définir le charme. Qu'on puisse le comparer à Lubitsch rendrait probablement Woody rouge de confusion. « Vous sortez d'un film comme Haute Pègre, a-t-il déclaré, et vous vous sentez bien, ragaillardi par l'esprit que Lubitsch vous a insufflé. Vous êtes relaxé, rafraîchi. Bien sûr, dès que vous sortez du cinéma, la vraie vie vous assaille, mais vous avez avalé une gorgée d'air et d'eau purs qui vont vous permettre de résister. » Eh bien, chez Woody, aujourd'hui, comme chez Lubitsch hier, tout console. Tout vivifie." Telerama - Pierre Murat "Chacun s'amusera des allusions à la religion, depuis des affirmations absurdes (les femmes juives cuisinent toujours trop cuit...) jusqu'à des réflexions plus profondes lors des scènes ou des échanges de lettres avec la soeur (« vit chaque jour comme si c'était le dernier, un jour tu devrais avoir raison » ! ). La verve de l'auteur est toujours vivace et son esprit donne autant dans la gravité que dans l'espièglerie." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Café Society est une friandise sublimée par la mise en scène de Woody Allen." L'Express "Véritable plus, Café Society bénéficie d'une direction artistique spectaculaire reconstituant minutieusement le Hollywood des années 30 et ses fastueuses demeures et fêtes, et frappe par la beauté graphique de nombre de ses plans." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "A noter que le directeur de la photographie d'Apocalypse Now, Vittorio Storaro, est pour beaucoup dans la réussite de Café Society. Chaque plan est une merveille, d'une richesse époustouflante en matière de lumière, de profondeur et de contraste. Les cahots de l'amour sont donnés à voir quelque part avec la même affectation grandiloquente que les scènes de bataille de la palme d'or 1979 de Francis Coppola. La même poésie surnaturelle se dégage de chaque scène, comme si les protagonistes étaient baignés dans un monde fantasmagorique. Pour toutes ces raisons et pour bien d'autres encore, Café Society ne saurait être réduit à un simple prolongement de l'oeuvre de Woody Allen, mais bien à une forme de renaissance, aussi classique et normalisée soit-elle. Il y avait longtemps qu'un film d'ouverture du Festival de Cannes n'avait pas atteint un tel niveau." Avoir Alire - Alexandre Jourdain "Quelques notes de jazz ouvrent cette nouvelle comédie sentimentale d'une élégance et d'un intellectualisme assumés, un énième triangle amoureux et toujours l'humour si caractéristique du monsieur. Plus que jamais nous sommes en terrain connu sauf que jamais un film de Woody Allen n'a été aussi formellement beau." Ciné Séries Mag "On aimerait jouer les rabats-joie, souffler d'épuisement à la vue de la typographie du générique, se lasser d'entendre les sempiternels airs jazzy et trouver bien frivole cette impression de ronronnement. Pourtant, loin de radoter, Woody Allen propose une nouvelle variation autour de ses obsessions et, surtout, il fonctionne au désir. En d'autres termes, Café Society est un exemple supplémentaire de la versatilité de ce cinéaste octogénaire qui, en jouant les mêmes notes, est capable d'obtenir des effets très différents." Lci TF1 "La subtilité n'est ici, pas le fort de Woody Allen. Que ce soit dans les choix de décors, dans la direction d'acteur ou dans l'écriture même de son histoire, il reproduit à l'exactitude ce que faisaient à l'âge d'or hollywoodien certains cinéastes tels que George Cukor ou encore Leo McCarey. Un mal pour un bien direz-vous. Au travers de Café Society, Woody Allen réalise plus qu'un hommage au cinéma des années 30 à 60, il le reproduit. (...) Woody Allen ne fait que reproduire quelque chose qui a déjà été fait. Il le fait bien, mais n'en fait ni plus ni moins." Cinécinéphile "Woody Allen se contente de suivre ses personnages – ces derniers plus ou moins similaires à d'autres dans ses oeuvres précédentes – dans un moment de leur vie. Du Woody Allen tout craché. Mais avec un scénario réduit à peu de choses le réalisateur finit par tourner en rond (...). Allen se fait plaisir (et c'est tant mieux), mais cela ne va pas plus loin. (...) Certes, pour une fois Woody Allen n'agace pas, évitant de nous enfoncer dans l'amoralité lourde de personnages lâches et égoïstes. On pourrait même dire que sa fin est réussie et intelligente. Mais même si on ne ressort pas en grinçant des dents, on se dit qu'on aurait très bien pu s'abstenir de passer une heure et demie au sein de ce Café Society." Le Blog du Cinéma |
Synopsis usuel:
New York, dans les années 30. Coincé entre des parents conflictuels, un frère gangster et la bijouterie familiale, Bobby Dorfman a le sentiment d’étouffer ! Il décide donc de tenter sa chance à Hollywood où son oncle Phil, puissant agent de stars, accepte de l’engager comme coursier. À Hollywood, Bobby ne tarde pas à tomber amoureux. Malheureusement, la belle n’est pas libre et il doit se contenter de son amitié. Jusqu’au jour où elle débarque chez lui pour lui annoncer que son petit ami vient de rompre. Soudain, l’horizon s’éclaire pour Bobby et l’amour semble à portée de main… |
Sortie ciné : 11 mai 2016 Box office France: 984 391 entrées cinéma |
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