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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Green Room):
"Green Room est un succulent jeu de massacres entre punks et nazis." Les Inrocks "En s'appuyant sur une variété d'armes (poignard, pitbull, fusil de chasse...), le réalisateur orchestre très bien ce jeu de massacre." Telerama "Après Blue Ruin, Jeremy Saulnier se laisse aller à un exercice de style classieux à la sauce survival adulescent. Nouveau trip crépusculaire aux confins de la sauvagerie qui laisse pantelant." Avoir Alire "Green Room poursuit la route entamée avec Blue Ruin qui étudie les causes et conséquences de l'irruption de la violence dans la vie de personnes tout à fait lambdas et absolument pas préparées à ça. Green Room fait mal aux spectateurs autant qu'aux personnages. Sans en faire trop, toujours sobrement et efficacement, Saulnier livre là un film en forme de direct au bide et à la face. On en sort avec le goût du sang en bouche et les muscles crispés d'avoir trop trituré les sièges de sa salle de cinéma. Jeremy Saulnier est bel est bien un réalisateur passionnant avec une approche novatrice et une vision propre du genre qui a l'avenir devant lui." Cinéma Fantastique "Jeremy Saulnier distille une tension qui ne faiblit jamais." Abus de Ciné "Puisant dans sa jeunesse (brutalement) bercée par le punk, le cinéaste offre avec son troisième long-métrage un spectacle radical... et chargé de ce qui semble être l'une de ses obsessions : le réalisme. Au-delà des éclats de sauvagerie qui ponctuent le film, Jérémy Saulnier livre un script exempt de failles ostentatoires : (...) Green Room s'avère aussi furieux que réfléchi..." Films Horreur "Au casting, la bonne idée est Sir Patrick Stewart, connu entre autres pour ses interprétations de Shakespeare au théâtre et en tant que Professeur Xavier, meneur bienveillant, pacifiste et chauve dans la saga X-MEN. (...) Jusqu'ici, il était connu en tant que leader humaniste. Maintenant, on pensera à lui par son rôle à contre-emploi mais il incarne toujours un leader puissamment charismatique, son crâne rasé faisant cette fois office d'identité fasciste. Il lui suffit d'arriver sans dire un mot pour imposer sa présence et la personnalité de son personnage." Sueurs Froides "Rien de franchement original comme point de départ. Mais un film 100% série B (budget indiqué : 6 millions de $), revenant presque aux racines 1980's du slasher. Et direct comme un uppercut en pleine tête. Le film rejoint le côté sec et cassant du virage amorcé par Blue Ruin, sans jamais cependant s'élever au-dessus d'un simple film d'assaut/vengeance. L'humour noir, tendance potache, se rapproche plus de l'univers de Murder Party qu'autre chose." Devil Dead "(...) Jeremy Saulnier a préféré unifier le ton de son film via une forme très attendue de réalisme sobre. Il en résulte un spectacle agréable, mais somme toute tiède." Le Blog du Cinéma "Après avoir réinventé le revenge movie avec le bouleversant Blue Ruin, Jeremy Saulnier tente de renouveler le survival, ce genre éculé. Green Room joue à la fois sur la tension psychologique et le déferlement sanguinaire de violences graphiques (mais régulièrement hors champs) ! Mais bon... Voire, comme d'habitude, les crevettes adolescentes aussi badass qu'une armée de cotons-tiges usagés, résister héroïquement aux gros fachos assoiffés de sang et armés jusqu'aux dents flingue un peu le film. C'est qu'on s'ennuie très vite devant ces interminables palabres entre assiégés et assiégeants... Le scénario se perd dans les rebondissements paresseux (et pas super crédibles) (...). Heureusement, Patrick Stewart est fabuleux en boss glacial et calculateur. C'est pas comme les bébés prématurés Imogen Poots (et son magnifique nez) et Anton Yelchin, totalement transparents." Daily Mars - Docteur No |
Synopsis usuel:
Au terme d’une tournée désastreuse, le groupe de punk rock The Ain’t Rights accepte au pied levé de donner un dernier concert au fin fond de l’Oregon… pour finalement se retrouver à la merci d’un gang de skinheads particulièrement violents. Alors qu’ils retournent en backstage après leur set, les membres du groupe tombent sur un cadavre encore chaud et deviennent alors la cible du patron du club et de ses sbires, plus que jamais déterminés à éliminer tout témoin gênant… |
Sortie ciné : 27 avril 2016 Box office France: 50 285 entrées cinéma |
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