|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Le Corbeau):
"En 1935, Bela Lugosi et Boris Karloff sont tous deux au sommet de leur gloire. A la suite du très important succès du Chat Noir, ils tournent une nouvelle fois ensemble (ils se rencontreront sept fois au cinéma) pour un autre véritable classique de l'épouvante des années 1930." Dvd Classik "On se délectera de découvrir "le pendule" et la "pièce qui rétrécit", deux des plus marquants systèmes de torture qui ont par la suite largement inspirés d'autres réalisateurs, en particulier George Lucas pour sa Guerre des Etoiles (1977) et autres Indiana Jones. La photographie est superbe, accentuée par le noir et blanc qui conforte le contraste du film. Le Corbeau est un grand classique qu'il faut voir au moins une fois dans sa vie." Scifi Movies - Doc "La véritable attraction de Le Corbeau se trouve enfouie dans le sous-sol de la maison de Vollin. Celui-ci y assemble toute sorte d'instruments de tortures, de pièces truquées, de vierges de fer en parfait état de fonctionnement. Le bâtiment lui-même n'est qu'un vaste piège qu'il commande à volonté (...)." Devil Dead "Souvent mésestimé, Le Corbeau se montre pourtant une plaisante série B, rondement menée en à peine une petite heure de projection. Son scénario délirant et l'interprétation outrée de Lugosi, associée à celle plus modérée de Karloff, en font une vision conseillée pour les nostalgiques de l'épouvante de l'Age d'or." Cinéma Fantastique - Fred Pizzoferrato "Le Corbeau a dans son jeu un atout maître : Bela Lugosi, l'interprète historique de Dracula. (...) Ici, soyons clair, c'est le Lugosi du Grand Guignol qui se voit convié ! Rictus démoniaque et ricanement imbu de sa propre malfaisance, plissement d'yeux appuyés signifiant la plus extrême sournoiserie, gestuelle et déclamation exponentiellement emphatique soulignant une mégalomanie grave... Lugosi joue à fond le jeu du savant fou, sans finesse, ni subtilité. Néanmoins, il a pour lui ce talent de rendre crédible et très divertissant ce style de personnage, leur apportant une touche particulière. Il est évident que l'acteur jubile à interpréter à fond les manettes un tel dément, et cet amusement se montre communicatif, le spectateur se voyant emporté par les délires virevoltants de l'inquiétant savant." Devil Dead "Le Corbeau propose un spectacle au rythme soutenu qui ne lésine pas sur les séquences anxiogènes au détriment parfois d'une certaine cohérence scénaristique et d'une exploitation complète de son potentiel (les personnages secondaires sont réduits à des clichés maintes fois serinés et ne sont que des faire-valoir du duo). Un classique très scolaire qui se place cependant dans la lignée des oeuvres d'épouvante de l'époque sans pour autant s'en détacher particulièrement." Cinéma Fantastique - Damien Taymans "Ce film est une adaptation très libre d'Edgar Allan Poe. Gardant le titre, certains vers et l'atmosphère de l'un de ses plus célèbres poèmes, ainsi que certaines idées provenant de diverses nouvelles de l'écrivain, la production engage Louis Friedlander (qui prendra plus tard le nom de Lew Landers), un artisan quelconque du cinéma, pour réunir nos deux stars de l'horreur. L'atmosphère est indéniablement "Poeienne", proposant avec une évidente originalité une mise en abyme du style littéraire de Poe, ainsi qu'un véritable hommage à son oeuvre et à ses obsessions sadiques." Dvd Classik |
Synopsis usuel:
Le Docteur Vollin brûle d’une telle passion pour les instruments de torture, qu’il les collectionne dans sa sinistre résidence. Après que la jolie Jean Thatcher, la femme qu’il a sauvée, et sa famille l’eurent repoussé, il fait de Bateman, un criminel terriblement défiguré, l’instrument de sa vengeance… |
Le Corbeau est un film en noir et blanc. |
|
|