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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Comme un torrent):
"Adaptation d'un roman fleuve semi-autobiographique de James Jones, Comme un Torrent est un grand mélodrame dont le point fort est l'excellente caractérisation des personnages." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Sur le papier, des personnages caricaturaux : l'intellectuelle frustrée à chignon, la pute au grand coeur, l'alcoolique professionnel. Sans oublier l'écrivain en panne, partagé entre la bourgeoisie, dont il est issu, et les marginaux, dont il se sent proche. Mais le lyrisme de Minnelli joue sur les clichés, se joue d'eux pour laisser deviner, sous les apparences, la crudité et la cruauté des sentiments et des moeurs." Telerama - Pierre Murat "Grâce au talent de Minnelli, cette desription d'une petite ville devient rapidement un microcosme de la société et, comme toujours chez lui, le drame naît de l'antagonisme de deux mondes. Tout sépare Ginny la fille facile, de Gwen, la prude professeure, sauf leur amour pour le même homme. Entre ces deux univers, celui de la bourgeoisie établie de Parkman et celui des marginaux de la société américaine, qu'ils soient joueurs ou entraîneuses, Dave incarne une forme de conscience, celle de l'artiste." Ciné Club de Caen "Abordant le genre mélodramatique, Minnelli y utilise les recettes qui ont fait son succès dans les comédies musicales : une esthétique impeccable et un travail époustouflant sur les couleurs. La scène de la fête foraine, rouge comme le sang, bouillante de vie et de lumière (Minnelli dit s'être inspiré de l'intérieur d'un juke-box), restera dans les annales comme un archétype de sa virtuosité." Avoir Alire "Le film montre une belle progression dans l'intensité et la célèbre scène finale, dans la fête foraine, en est le moment le plus fort." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "« Il arrive que le vernis de l'élégance et le raffinement de la narration ne puissent pas toujours dissimuler l'angoisse existentielle du visionnaire qu'est Minnelli. C'est comme si un excès d'émotivité et de désir frustré, désormais impossible à contenir, se déchaînaient sous la forme de délirants mouvements de caméra, d'explosions de lumière et de couleurs, de musiques fracassantes et de montage frénétique » lit-on à la page 1020 de l'Encyclopédie Atlas du cinéma. C'est tout à fait ce qui caractérise des séquences comme le final lors de la fête foraine de Comme un Torrent (...). C'est cela le lyrisme "minnellien", l'un des éléments les plus spécifiques de son cinéma et qui rend ce dernier aussi reconnaissable et inoubliable par la fusion de ce souffle romantique exacerbé avec un suprême raffinement par ailleurs." Dvd Classik "La vraie héroïne du film est Shirley MacLaine. Fille perdue à la traîne de Sinatra (...), on cherche longuement son utilité tout au long de l'histoire. L'allure vulgaire et peinturlurée de maquillage, sa simplicité d'esprit la rend plus pitoyable qu'autre chose comparé aux protagonistes plus "profonds" qui l'entourent. C'est pourtant elle le coeur émotionnel du film, car elle est la seule à s'offrir entièrement, sans calcul, avec ses défauts et toutes prête à accepter ceux de l'homme qu'elle aime. La dernière partie plus centrée sur elle est donc la plus touchante et prenante." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Il faut prendre Comme un Torrent pour ce qu'il est, un grand mélo comme Hollywood savait si bien les faire, mais dont les codes nous paraissent aujourd'hui un peu désuets." Avoir Alire "Le drame du film semble au premier abord se situer dans les amours contrariés de Dave avec l'institutrice Gwen French (Martha Hyer) (...). Malgré la conviction irréprochable des acteurs (Martha Hyer est excellente en provinciale psychorigide) cette romance s'avère terriblement longuette et poussive (...). Les intrigues secondaires sont tout aussi mal introduites avec le détestable personnages du frère joué par Arthur Kennedy qui amène lourdement toutes facettes qu'on s'attend à voir surgir dans ce type de cadre provincial à savoir le poids de la rumeur et l'hypocrisie mais sans que cela fasse sens dans la trame très longuette. Le film (...) se suit finalement avec un ennui poli." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste |
Synopsis usuel:
De retour a Parkman dans l'Illinois, sa ville natale, apres 16 ans d'absence, Dave Hirsh souffre de retrouver le milieu familial de son frère, le plus important joaillier de la ville, qui fut si dur pour lui, jeune orphelin. Froide et indifférente, sa belle-soeur redoute le comportement original de Dave. |
Sortie ciné : 15 mai 1959 Box office France: 846 766 entrées cinéma |
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