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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd 588, rue Paradis):
"Mayrig ("maman" en arménien) et 588, rue Paradis, deux films magnifiques, racontent l'histoire d'Henri Verneuil (Achod Malakian de son vrai nom), jeune arménien débarqué à Marseille en 1924 à l'âge de 4 ans avec son père, sa mère et ses deux tantes. (...) c'est l'histoire simple d'un jeune homme qui a voué son enfance à dépasser son statut d'étranger et qui a passé sa vie d'adulte à rendre hommage à ses origines." Justcinema "Le réalisateur ouvre ce second volet sur une habile transition car nous voyons la même scène [qui clôturait Mayrig], mais jouée dans une pièce de théâtre écrite par le même Azad, devenu dramaturge et renommé Pierre Zakar pour l'occasion. La tournure assumée de l'autobiographie devient alors évidente et Henri Verneuil, alias Achot Melikyan, trouve en Pierre Zakar son alter ego magistralement interprété par Richard Berry dans un de ses meilleurs rôles." Krinein - Hugo Ruher "Comme dans le premier volet, ce qui fait la richesse de 588, rue Paradis, c'est encore une fois l'aspect profondément arménien qui s'en dégage. Verneuil fait part de son vécu en évoquant plusieurs thèmes centraux, avec tout d'abord la question de l'importance des origines." Krinein - Hugo Ruher "Verneuil aborde bien sûr la place de la famille, elle est ici mise en opposition avec la vie maritale, mais toujours avec pudeur et retenue." Krinein - Hugo Ruher "Une autre problématique plus présente est celle du rapport à l'argent très particulier qu'entretiennent les arméniens. Il est fait d'un mélange de pudeur et de fierté, Pierre n'a pas honte d'être devenu riche par son travail, et peut ainsi subvenir aux besoins de ces parents, mais ceux-ci, s'ils ne refusent pas, n'abordent jamais le sujet avec lui et ne lui avouent que tard qu'ils n'ont jamais touché à l'argent de leur fils. Ceci était déjà présent dans le premier film mais avec un Azad devenu adulte et riche, la question de l'argent trouve une nouvelle dimension très marquante." Krinein - Hugo Ruher "Le jeu d'Omar Sharif, en vieillard toujours aussi fier de son fils qu'au premier jour, est bouleversant de justesse, moi qui avais jusque là un peu de mal avec cet acteur, je l'ai absolument redécouvert dans ce diptyque." Krinein - Hugo Ruher "Même si les deux films sombrent un peu dans le pathos, ils offrent une tranche de vie émouvante." Dvd Critiques "Je me souviens encore de ma mère et ma soeur pleurant devant ce film, on en parle souvent d'ailleurs, un peu comme si on tentait de se rappeler ces moments du film en famille le samedi soir quand j'avais à peine 10 ans. Je me souviens de mon père, passionné de culture et de connaissances, décidé à en lire plus sur la tragédie des arméniens. Et je me souviens de moi, marquée à jamais par un film qui a contribué à ma passion du cinéma aujourd'hui..." Justcinema "Une intervention d'Henri Verneuil dans l'émission « Cinéma cinémas » lui vaut de recevoir quatre mille lettres qui l'incitent à écrire son enfance arménienne... Publié aux éditions Robert Laffont en 1985. Mayrig (Prix Saint-Simon) rencontre un énorme succès - plus de 600 000 exemplaires vendus - et sera traduit en dix langues. Henri Verneuil décide alors de porter à l'écran son récit en grande partie autobiographique." Dvd Critiques |
Synopsis usuel:
Plus de quarante ans ont passé depuis l’arrivée d’Azad Zakarian à Marseille. Il s’appelle maintenant Pierre Zakar et ses oeuvres sont jouées sur toutes les scènes du monde. Ses souvenirs d’enfance vont resurgir quand, à la mort de son père, il va retrouver sa mère, Mayrig… La suite du récit autobiographique d’Achod Malakian, dit Henri Verneuil. |
Sortie ciné : 15 janvier 1992 Box office France: 472 823 entrées cinéma |
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