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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Dieu, ma mère et moi):
"Un trentenaire accuse l'Eglise espagnole de tous ses maux dans une comédie douce-amère." Les Inrocks "Dieu, ma Mère et Moi est le portrait sensible et léger d'un anti-conformiste." Abus de Ciné "Encore interdite, et même punie de la peine de mort dans certains pays, l'apostasie n'est jamais un acte anodin. Pour Gonzalo, le reniement de sa foi catholique apparaît comme une double nécessité : se libérer de l'emprise de sa famille dévote et sortir de cet état d'« adulescence » où il s'est réfugié. (...) le cinéaste évoque, ici, l'expérience de son ami Alvaro Ogalla, à qui il a confié le rôle principal bien que celui-ci ne soit pas acteur." Telerama - Jérémie Couston "Le cinéaste uruguayen Federico Veiroj, revient avec cette comédie philosophique, au rythme parfois un peu inégal mais au ton délicieusement absurde. L'histoire se concentre sur la crise existentielle du héros, interprété par l'acteur non professionnel, Alvaro Ogalla, très convaincant, alors qu'il est tour à tour immature, agaçant, touchant et drôle." L'Express "Son air juvénile et sa maladresse apportent à cette comédie existentielle, traversée çà et là par le fantôme de Luis Buñuel, un vrai charme, décuplé par l'éclectisme des choix musicaux, du punk basque à Prokofiev." Telerama - Jérémie Couston "Tournée en Espagne avec un acteur qui a réellement souhaité se défaire de son identité catholique, cette comédie aux accents parfois baroques ne manque pas d'intérêt. Gonzalo se bat et il y croit. C'est David contre Goliath en version théologique. Rien n'y est agressif, ironique ou prise de tête. Ce film pertinent pose simplement la question du libre arbitre nié à la naissance." Le Parisien "Dieu, ma Mère et Moi est une comédie sans éclat particulier mais renouant un peu avec la décontraction et le naturel des premiers Nanni Moretti." L'Humanité "Le film peine à maintenir l'intérêt du spectateur, intrigué pour commencer, amusé par moments, mais qui, le reste du temps, se demande en quoi l'histoire du beau Gonzalo le concerne vraiment." L'Obs |
Synopsis usuel:
Gonzalo Tamayo, madrilène d’une trentaine d’années, poursuit toujours ses études de philosophie, sans grande conviction. Au tournant de sa vie d’adulte, Gonzalo pense qu’un obstacle entrave son aspiration à réinventer sa vie : on ne lui a jamais demandé son consentement pour être baptisé ! Il décide donc d’apostasier et entreprend des démarches pour être radié des livres de l’Eglise. Il voit dans cette rupture radicale la fin de ses tourments et de son attachement à sa mère. Il entre alors dans une course folle, de prélat en cardinal, entraînant dans son sillage un doux chaos. A travers cette quête irraisonnée aux yeux de tous, il revisite son passé et est envahi par de drôles de visions. Va-t-il accéder à sa liberté ? |
Sortie ciné : 4 mai 2016 |
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