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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Les Amants de Caracas):
"Les Amants de Caracas fut le Lion d'or surprise du Festival de Venise 2015. (...) D'une noirceur implacable, le film s'avère d'une remarquable efficacité lorsqu'il aborde l'exclusion et le rejet de toute douceur. Cette oeuvre singulière est portée à bout de bras par Alfredo Castro (...). Sa composition, entre détresse, perversion et calcul, fait de son personnage un des plus humainement énigmatiques qu'on ait vu depuis longtemps." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Lorenzo Vigas Castes filme la relation étrange et taiseuse entre un quinqua et un petit voyou de quartier dans la chaleur de Caracas. Un récit dérangeant et bouleversant." Culture Box "Les Amants de Caracas est un film tremblant de passion. Le réalisateur filme une rencontre, un désir qui change sans cesse de camp, une impossibilité de simplicité : le tout de façon orageuse et crue. L'auréole de ce désir longtemps inassouvi est baignée dans une matière silencieuse." Le Passeur Critique "Premier long métrage d'un cinéaste inspiré, ce récit troublant d'une attirance ambigüe brille par ses non-dits et son jeu de fausses pistes." Avoir Alire "Les Amants de Caracas n'est pas un film qui saisit le spectateur à la gorge. La violence existe dans Les Amants de Caracas. Mais, subtilité d'écriture, elle est toujours hors-champ. Un traumatisme personnel jamais dévoilé, une vengeance familiale dont on se sait si et quand elle a bel et bien eu lieu... Lorenzo Vigas maîtrise en effet l'art du juste dosage des non-dits." Film de Culte - Gregory Coutaut "Ce premier film n'évite pas les maladresses. La plus voyante : l'insistance sur la figure paternelle, clé unique de tous les maux des deux hommes, et cause d'un coup de théâtre final plutôt forcé... Un peu juste pour un Lion d'or de la Mostra de Venise." Telerama "Cette histoire homosexuelle ne se contente pas d'être banalement exaspérante. C'est un bel exemple de manipulation perverse du penchant érotomane de l'Occident. (...) De qui se moque-t-on ? Où est la moquerie, ou, pour dire les choses grossièrement, le foutage de gueule ? (...) derrière cette histoire singulière, il y a l'idée suivante : nous serions tous homosexuels, certains l'assumant plus que d'autres. La ficelle est tellement grosse qu'on se sent comme un devoir de préciser, façon Not in my name : « homosexualité latente » ne veut pas dire « tous pédés ! ». (...) Cette subite conversion du jeune homme au plaisir contre-nature situe a priori la première place subjective de l'auteur. Et il s'agit d'un bel exemple d'érotomanie, cette psychose délirante où le sujet se croit aimé d'un autre et où toutes les dénégations de ce dernier ne sont perçues que comme des preuves supplémentaires accréditant le fantasme. En gros, ici : « Il me traite de sale pédé, c'est donc qu'il ne peut s'empêcher d'en pincer (restons polis) pour ma peau ridée. Chaque coup, chaque insulte est la preuve de ce désir qui le travaille. »" Causeur |
Synopsis usuel:
Caracas, de nos jours. Armando, la cinquantaine, attire régulièrement des jeunes hommes chez lui. En échange d’une jolie somme d’argent, il leur demande de se déshabiller, mais refuse de les toucher. A la suite de sa rencontre avec Elder, une petite frappe des bas quartiers, il développe une fascination dévorante pour le jeune homme qui, attiré par l’argent, lui rend visite fréquemment. Petit à petit, une relation singulière s’installe entre eux. |
Sortie ciné : 4 mai 2016 Box office France: 7 942 entrées cinéma |
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