Un soir, à la sortie d'un bar fréquenté par des homosexuels en Belgique, un jeune gay monte dans une voiture avec quatre jeunes, homophobes.

A la tête des stups d'Anvers depuis 10 ans, Jan Verbeeck est réputé pour être intransigeant et pour avoir «nettoyé» les rues de la métropole flamande. Mais le commissaire décide de démissionner pour devenir (...)officiellement candidat à la Chambre pour le parti d'extrême droite, le VPV. Son discours est aussi nauséabond que percutant lorsqu'il justifie ses propos ouvertement racistes en mettant en scène son bras droit, Dries, un Belge d'origine arabe. Pour fêter son dernier jour à la brigade des stups, ses collègues lui font un ultime cadeau : l'arrestation d'un gros trafiquant turc dans un laboratoire clandestin de Charleroi. Mais l'opération tourne au fiasco et plusieurs personnes sont tuées. Jan Verbeeck se retrouve totalement dépassé par les événements... (x)

En 1983, un jeune du quartier des Minguettes, dans la banlieue de Lyon, se fait tirer dessus par un policier. Remis de sa blessure, il décide de lutter contre la montée du racisme en organisant une marche vers Paris, pour la paix.

Les "barons", ce sont de jeunes adultes à Bruxelles, qui ont fait de la glande une philosophie. Ils pointent à l'ANPE. Mais Hassan, lui, est ambitieux et voudrait devenir humoriste. Il est aussi amoureux de Malika, la soeur de son pote Mounir.