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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd L'Origine de la violence):
"Chouraqui s'attaque à la Shoah. Un homme va peu à peu découvrir l'histoire de sa famille, déterrer le passé pour exorciser ses démons, tenter de comprendre la violence qu'il retient sans cesse en lui, violence qui trouve ses racines dans de sombres secrets de famille. C'est donc une intrigue digne d'un roman policier, où la vérité, à mesure qu'on la découvre, se fait de plus en plus implacable. Le rythme de ces révélations est très efficace, nous plongeant de manière immersive dans la page la plus sombre de l'histoire." Abus de Ciné - Rémi Geoffroy "Des flash-back jettent un regard intense sur la Shoah." Première "« C'est une formidable parabole de ce nous autres, Français, sommes avec notre passé de résistants mais aussi de collaborateurs », explique le cinéaste qui fait plonger son héros brillamment incarné par Stanley Weber (vu dans la série Les Borgia) dans un passé douloureux." 20 minutes "L'Origine de la Violence est l'adaptation du roman éponyme de Fabrice Humbert, inspiré de la véritable histoire de ce dernier. (...) De façon surprenante, L'Origine de la Violence est un film positif, c'est même un très beau film. Il est difficile, voire paradoxal, d'utiliser ce genre d'adjectifs lorsque l'on aborde la Shoah mais ici les choses sont différentes. Il ne s'agissait ni pour Fabrice Humbert, ni pour Elie Chouraqui de réaliser une oeuvre larmoyante sur la question. C'est pourquoi le film n'est pas tourné vers le passé, même s'il revient dessus, mais vers l'avenir. Il participe à l'indispensable devoir de mémoire mais invite à la résilience." Le Blog du Cinéma "La distribution mixe judicieusement comédiens aguerris (Richard Berry, Michel Bouquet, Didier Bezace...) et acteurs moins confirmés (...). Une répartition qui colle parfaitement au film qui mélange deux époques, un milieu bourgeois contemporain et les années 40, parfaitement reconstituées." Culture Box "Trop conditionnés que nous sommes à ingurgiter des thrillers (films ou séries) où la traque d'un coupable et la révélation de son identité est souvent le coeur de l'intrigue, le cinéaste nous rappelle que la vie est souvent plus nuancée et conclut son film avec finesse, sans aucun manichéisme, nous signifiant qu'il est bien trop facile, pour la génération d'aujourd'hui de juger des actes passés, à une époque ou devenir un monstre était à la portée de tous. Car finalement, aurions-nous eu, nous-mêmes, la présence d'esprit de ne pas en devenir un ? Pas sûr." Avoir Alire "Si le film est passable, la réalisation vieillotte et le jeu peu naturel, pour ne pas dire télévisuel, des acteurs plombent ce drame. Pour que le devoir de mémoire soit efficace, il faut réinventer son écriture cinématographique pour la conjuguer au présent (voir Le fils de Saul), sans quoi le passé se dilue dans un déjà-vu qu'on n'a plus envie de voir..." Paris Match "Le sujet, costaud, est gâché par un excès de pathos et une réalisation qui pèse des tonnes. Les flash-back dans le camp de concentration sont particulièrement embarrassants." Telerama "Ce film est principalement plombé par une extrême banalité et une absence totale de point de vue dans la conduite de son récit." Ciné Séries Mag |
Synopsis usuel:
Lors d’un voyage en Allemagne, un jeune professeur, Nathan Fabre, découvre au camp de concentration de Buchenwald la photographie d’un détenu dont la ressemblance avec son propre père, Adrien, le stupéfie. De retour en France, le souvenir de cette photographie ne cesse de l’obséder. Face au silence de son père, il décide alors de se pencher sur l’histoire de sa propre famille. Les secrets qu’il y découvre bouleversent son existence. À l’issue de sa quête, Nathan comprendra que le passé, même enfoui au plus profond des mémoires, finit toujours par ressurgir… |
Sortie ciné : 25 mai 2016 Box office France: 67 896 entrées cinéma |
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