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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Le Portrait de Jennie):
"Le Portrait de Jennie appartient à une tradition de romantisme onirique (...). Le scénario n'est pas un modèle de dynamisme dramatique. Mais la mise en scène subtilement éthérée de Dieterle et les performances d'acteurs font la différence : c'est surtout Jennifer Jones qui est étonnante, donnant à son personnage toute sa dimension fantasmatique." Telerama - Aurélien Ferenczi "Le Portrait de Jennie connut un insuccès total à sa sortie mais avec le temps, il est monté dans l'estime des cinéphiles comme bel exemple de cinéma onirique." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "William Dieterle réussit de belles scènes dans un New York enneigé et parvient à créer une atmosphère éthérée. De nombreuses scènes sont filmées à travers une toile pour donner l'impression d'une peinture animée. La frontière entre réel et irréel s'estompe." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "L' originalité du film vient en partie du fait que le réalisateur alterne le noir et blanc avec des séquences teintées ; ainsi, la tempête est filmée avec un filtre vert, le portrait à la fin apparaît en technicolor. Certaine scènes semblent aussi peintes sur une toile… Il y a donc une certaine recherche formelle dans Le Portrait de Jennie." Les écrans de Claire "William Dieterle, en liant constamment sa mise en scène aux élans de ses amoureux, parvient à faire de cette extravagance esthétique un élément inhérent au récit et non pas un gimmick qui le rend hypertrophié. Les interrogations existentielles de la scène d'ouverture trouvent en somme des éléments tangibles auxquels se raccrocher avec cette romance déroutante, et à la sophistication des images répond une tonalité apaisée qui change du tumulte habituel attendu avec une production O. Selznick." Dvd Classik "Quel film ! Dieterle, expatrié au début des années trente, réinvestit son esthétique allemande (expressionniste et gothique) avec la plus grande subtilité, épaulé à la photo par Joseph Auguste qui livrera ici son dernier travail. En résulte un noir et blanc contrasté majestueux soudé à un sens du cadre parfois affolant du réalisateur. A ce titre, le plan de Jennie patinant gaiement vers de gigantesques buildings new-yorkais jusqu'à s'évanouir derrière un rayon de soleil est estomaquant de maîtrise technique et de raffinement esthétique, d'autant que la candeur de l'instant s'épanouit dans une insolente simplicité." Il était une fois le cinéma "On peut trouver le film ennuyeux. (...) Malgré tout le talent de Dieterle, le résultat manque d'intensité, le souffle épique voulu par Selznick étant aux abonnés absents (...)." L'Oeil sur l'Ecran - Lui |
Synopsis usuel:
New York, 1934. Eben Adams, peintre sans le sou, croise une étrange fillette nommée Jennie Appleton à Central Park. Lui qui avait pour habitude de peindre des paysages ou des natures mortes va esquisser le croquis de cette enfant, éveillant la curiosité des marchands d’art. À chacune de leurs retrouvailles, Jennie vieillit à vue d’oeil, jusqu’à se métamorphoser en une belle et jeune demoiselle. À la fois intrigué et fasciné par cette femme semblant venir d’un autre temps, Eben va tenter de percer le mystère de celle qui est devenue sa muse… |
Le Portrait de Jennie est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 1er mai 1951 |
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