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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Milan Calibre 9):
"Quentin Tarantino n'hésite pas à faire de Fernando Di Leo le plus grand auteur du poliziottesco et érige Milan Calibre 9 comme le plus grand film du genre. Di Leo avait déjà tâté du cinéma criminel [mais] rien ne laissait alors présager une telle réussite qui définira le style de tous ses films à venir. Plus qu'un film référence du polar italien, Milan Calibre 9 définit un cinéma unique que Di Leo déclinera ensuite tout au long de sa carrière, aussi typique du genre que tout à fait singulier." Dvd Classik - Philippe Paul "A la fois spectaculaire, conscient de l'Italie de son époque et de l'évolution morale du monde, le film joue sur tous les terrains. Il est plus qu'un grand poliziottesco, c'est un grand film criminel, sans frontière, absorbant toutes les influences et révélant simultanément la personnalité propre d'un immense cinéaste. Fernando Di Leo lance définitivement sa carrière de réalisateur et n'hésitera pas ensuite à poursuivre dans la même veine, pour notre plus grand bonheur." Dvd Classik - Philippe Paul "Milan Calibre 9 est assurément l'un des tous meilleurs polars italiens des années 1970." Psychovision - Flint "Milan Calibre 9 s'impose comme l'un des meilleurs titres du polar à l'italienne : noir, pessimiste, violent, il est un tableau saisissant d'une époque peu reluisante ; ses thèmes et ses personnages universels en font un film d'une belle modernité qu'il est urgent de (re)découvrir." Sueur froides "Milan Calibre 9 est superbement filmée, et le teaser reste un moment d'anthologie. Milan Calibre 9 dresse le portrait de deux écoles de gangsters, mais aussi de policiers. On a d'une part une Mafia en fin de cycle, d'ailleurs Vincenzo estime que la vraie Mafia n'existe plus. Il n'y a plus que les gangs, symbolisés par l'Américain, pour qui l'honneur ne compte pas, mais seulement les résultats. On assiste donc à une transition entre les traditions séculaires perpétuées par la Mafia, et les nouvelles générations de criminels." Psychovision - Flint "Ici, personne ne se retrouve iconisé, bien au contraire. Chaque personnage dégage une sensation de noirceur, un aspect sombre qui ne peut mener qu'à une autodestruction morale et physique dévastatrice." Le Coin des critiques ciné "Si les polars italiens ont su montrer avec les films d'Umberto Lenzi qu'ils étaient capables de rivaliser avec le cinéma américain sur le strict plan de la violence, avec ceux de Fernando Di Leo ils prouvent qu'ils savent également leur tenir tête à un niveau politique." Tortillapolis "Si le film surfe sur le genre (filone en italien) poliziottesco, il reste cependant à la marge de celui-ci car les policiers, même s'ils sont deux, ne font guère d'enquête durant le film et passent le peu de temps qu'ils ont à l'écran à se déchirer politiquement." Rue du Ciné "Milan Calibre 9 proposait en effet au spectateur une vision de la société italienne de l'époque en totale déliquescence sociale et morale, corrompue par la lutte des classes et sans juste milieu entre une bourgeoisie insouciante (et forcément décadente) et le reste de la population, obligé de survivre dans la misère. Ainsi, le film de Fernando Di Leo montrera des dissensions au sein même de la police, faisant violemment s'opposer les personnages campés par Frank Wolff (commissaire principal), violemment réactionnaire, et Luigi Pistilli (commissaire divisionnaire), farouche représentant de la lutte des classes." Critique Film "La violence est présente, peut-être pas aussi démonstrative que dans d'autres polars italiens, les rebondissements sont nombreux, la ville de Milan est superbement mise en avant et la question de savoir si Ugo Piazza a quelque chose à voir ou non dans le vol d'argent permet de maintenir un intérêt constant chez le spectateur, qui tente lui aussi de démêler le vrai du faux. (...) Solide, attachant, Milan Calibre 9 plaira sans aucun doute aux fans de polars, qui ne devront pas hésiter à le visionner. Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié même si je m'attendais à plus de gunfight entre gangs rivaux en fait, au vu du titre du film." Le petit cinéma de Stephane |
Synopsis usuel:
Après avoir purgé une peine de quatre ans de prison, Ugo Piazza est relâché pour bonne conduite. Son ancien complice, Rocco, un dangereux homme de main au service de « l’Américain », lui rafraîchit la mémoire : une somme importante a été dérobée avant son incarcération et Ugo était le dernier à avoir accès au magot… |
Sortie ciné : 10 juillet 1974 |
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