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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie blu-ray La Maison aux fenêtres qui rient):
"Il s'agit là d'un film unique en son genre (...) qui marque les esprits, l'empreinte d'un cinéaste talentueux. Croisement entre deux genres : le giallo et le film d'horreur, La Maison aux fenêtres qui rient emmène le spectateur dans un voyage au coeur de l'angoisse, ayant pour cadre la campagne italienne, ses croyances, et ses superstitions, ses secrets et ses tares." Psychovision. "La Maison aux fenêtres qui rient se veut une réflexion sur l'interprétation que l'on accorde à une œuvre relevant du sacré (...). Véritable chef-d'œuvre distillant un climat à la fois poétique et malsain, il s'impose tel un incontournable de la production bis italienne des années 1970, porté par une atmosphère singulière et une transcendance originale des genres." Obsession B "La Maison aux fenêtres qui rient est d'abord et surtout un film éminemment personnel pour Pupi Avati, par son unité de lieu, la région Émilie-Romagne, dans laquelle le réalisateur passa les six premières années de sa vie, dans la commune de Sasso Marconi, aux abords de Bologne, plus précisément. L'influence de ce contact avec la vie paysanne se ressent clairement au fil des scènes, dans la manière de sublimer le village dans lequel se déroule l'action ainsi que ses alentours, offrant un dialogue permanent entre la mer, les champs et la montagne." Obsession B "On ressent, dans ce long métrage, l'influence de l'Italie profonde, du poids des traditions et de la religion, et de l'église dont le portrait n'est pas flatteur : le prêtre est lui-même un suppôt du démon ! " Devil Dead - Jérôme Peyrel "Malgré quelques temps morts, la fin du film est un modèle du genre, particulièrement flippant, et ce sans avoir recours à des effets spéciaux (...). Une oeuvre marquante, donc, et qui reste toujours aussi efficace trente ans plus tard. Un film hautement recommandable, un classique du genre." Psychovision "Le scénario, écrit par Pupi Avati lui-même, contient beaucoup d'incohérences qui ne passent pas trop bien, bien que le réalisme ne soit pas l'affaire du réalisateur. On ne comprend pas pourquoi on a été chercher Stefano si en vérité on ne voulait pas savoir que cette fresque représentait aussi les sœurs Legnani. De même on ne comprend pas sur quoi repose le pacte du silence qui semble lier entre eux tous les habitants. C'est pourtant un des aspects les plus intéressants. En effet cela ressemble à un village sicilien sous la coupe de la mafia." Le Blog d'Alexandre Clément |
Synopsis usuel:
Au début des années 1950 - Engagé afin de restaurer une fresque dans une église représentant le martyre de Saint Sébastien, Stefano se rend dans un petit village, non loin de Bologne. L’auteur de la peinture murale, atteint de folie, est mort vingt ans plus tôt, avant d’avoir pu achever son oeuvre. Stefano se met alors au travail, tout en faisant connaissance avec les habitants. D’étranges incidents se produisent bientôt. Sentant que la population cache un lourd secret, Stefano mène son enquête, et se met très vite en danger. |
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