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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Meurtre dans un jardin anglais):
"Meurtre dans un Jardin anglais, chef-d’œuvre de Peter Greenaway, (...) film à costumes basé sur une intrigue à mystère, est un bijou d’humour acerbe et d’ambiance énigmatique, le tout baignant dans une splendeur esthétique." Avoir Alire "Meurtre dans un Jardin anglais marque l’acte de naissance de Peter Greenaway aux yeux du grand public. On y retrouve tout l’alliage d’inspiration picturale, d’esthétique baroque et de tonalité expérimentale qui fera le sel de ses grandes œuvres à venir." Dvd Classik - Justin Kwedi "Premier film abordable de Peter Greenaway, Meurtre dans un Jardin anglais a marqué son temps par son esthétique précieuse et la musique magnifique de Michael Nyman. Un must que l’on aime redécouvrir un peu plus à chaque visionnage." Ciné Dweller - Virgile Dumez Ciné "Salué à sa sortie comme un signe du renouveau du cinéma anglais, le film de Peter Greenaway décrit sous les dehors d'une fête quelque peu libertine les troubles secrets de la lutte des classes et de la guerre des sexes à la fin du dix-septième siècle. Une intrigue policière vient s'ajouter aux énigmes du scénario et aux jeux savants de la mise en scène." Le Monde "En fait, Meurtre dans un Jardin anglais ne ressemble à rien d’autre, et c’est ce qui le rend parfois compliqué à aborder. Dès son introduction, mêlant gros plans où l’aristocratie anglaise nous est montrée dans tout ce qu’elle a de plus répugnant et dès les panneaux de titres, on est déconcerté. La perfidie est illustrée dès les premiers photogrammes et le spectateur n’y est pas préparé. Il y a quelque chose qui relève du malaise et de l’inconfort et Greenaway se sert rapidement de Neville comme d’une bouée de sauvetage pour son auditoire. En suivant son parti, le récit prend devient une critique sociale assez mordante, notamment grâce à des dialogues plutôt savoureux, même si ce peintre à l’impolitesse caractérisée peut parfois sembler aussi antipathique que ceux dont il entend profiter." Fais pas genre - Kévin Robic "Les rapports sont violents, sans concession derrière une préciosité feinte. Monsieur Neville consomme la chair sans préliminaire. Il va droit au but." Objectif Cinéma - Gilles Visy "Malgré les apparences, ce n'est pas madame Herbert qui semble victime du pacte « faustien » mais le peintre. Il croit exercer un pouvoir de séduction avec son talent et ses belles paroles alors qu'il sera utilisé, méprisé à son insu, d'une part pour ses services de géniteur et d'autre part pour son statut de gêneur. En effet, il n'appartient pas à la noblesse (...). La belle société aristocratique reporte son courroux sur la classe modeste incarnée par le dessinateur." Objectif Cinéma - Gilles Visy |
Synopsis usuel:
Au XVIIe siècle, une aristocrate, profitant de l’absence de son mari, engage un peintre pour immortaliser son domaine. En dédommagement, elle lui offre la totale jouissance de son corps. L’artiste découvrira trop tard les buts secrets de cet agréable contrat. |
Sortie ciné : 15 février 1984 |
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