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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Harlequin):
"Ce qu'il y a de passionnant, c'est que ce film joue beaucoup sur les sous-entendus, sur l'ambigüité. Pendant la majeure partie du film, on ignore si on a affaire à du fantastique authentique ou à des tours de passe passe. Laisser le spectateur croire en ce dont il a envie, c'est le tour d'acrobatie auquel se livre le film, et il se révèle particulièrement efficace sur ce terrain." Voracinéphile "Harlequin est un film parfois inégal, par moments puissant, mais quoiqu'il en soit, toujours intéressant et intelligent." Psychovision "Certaines scènes, tournées avec un grand talent par Wincer, font désormais partie des scènes cultes d'un cinéma autralien qui peut être fier de compter un tel métrage dans sa filmograpghie ! (...) L'atmosphère même du film jouit des bienfaits du travail de Wincer (...). Le cadrage de chaque scène a été étudié au millimètre près afin de nous faire ressentir un maximum d'émotions." Cinéma Fantastique "D'une belle richesse thématique, Harlequin arrive à capter notre attention grâce à la douce étrangeté qui émane des plans les plus simples." Avoir Alire "Les personnages sont attachants, et les acteurs jouent formidablement bien leurs rôles. L'intrigue est bien ficelée, la réalisation parfaite. (...) ce personnage de Grégory Wolfe, superbement bien interprété par Robert Powell est déroutant. Il provoque des sentiments divergeants. Tantôt il nous charme et nous émerveille, tantôt nous éprouvons un sentiment de rejet. Pourquoi ? Sans doute parce qu'effectivement il a quelque chose de dérangeant... Longiligne, effilé, il a quelque chose de féminin, quelque chose d'attirant et de repoussant à la fois." Also-Known-As "Ce personnage du guérisseur Gregory Wolfe est très largement inspiré par le moine Raspoutine, personnage influent de la fin de l'Empire Russe, devenu un proche de la tsarine Alexandra après avoir, soi-disant, miraculeusement guéri son fils hémophile. De nombreux rapprochements peuvent donc être faits entre Wolfe et Raspoutine : tous deux s'appellent Gregory ; ils sont supposés être doués de pouvoirs surnaturels ; mais on les soupçonne aussi d'être des charlatans ; ce sont des séducteurs impénitents..." Devil Dead "Harlequin est un film étrange qui bénéficie d'une ambiance très particulière (...). Le film peut s'appuyer sur d'excellents acteurs. (...) Toutefois, le film n'est pas exempt de défauts. Certains effets spéciaux sont franchement ratés." Naveton Cinéma "(...) je m'attendais à voir un slasher. Il faut dire que la pochette du film tel qu'il a été édité en France est plutôt trompeuse. Au lieu de ça, on est en face d'un film à la fois onirique dans le fond et chirurgical dans la forme, ce qui n'est pas sans rappeler Patrick, autre réalisation australienne sortie sur les écrans deux ans plus tôt. (...) On a droit à de beaux moments. (...) puis le film s'inscrit dans une certaine routine qu'une réalisation pourtant talentueuse ne parvient pas à dépasser. Les points d'orgue de la narration eux-mêmes laissent froid, et la musique envahissante et rococo qui cherche à les souligner n'arrange rien." Caligari |
Synopsis usuel:
Après la mort accidentelle d'un politicien, le jeune sénateur Nick Rast semble être en bonne position pour lui succéder. Le jeune fils de Rast souffre de leucémie et les médecins n'ont plus aucun espoir de le guérir. Il reçoit la visite d'un étrange guérisseur animé d'une flamme mystique dont les soins donnés en sa présence guérissent miraculeusement l'enfant. Ce mystérieux docteur, dont l'apparition bouleversera la vie de l'enfant, sera compris de lui seul, par un inexplicable phénomène de télépathie et d'intuition aigüe. Est-il un illusioniste ou l'incarnation du destin ? Cet être extraordinaire, dont le pouvoir est tel qu'il peut commander aux éléments, et que la clairvoyance rend dangereux pour la société où se bousculent les hypocrites, les retors et les politiciens, est-il habité par Dieu ? |
Sortie ciné : 14 janvier 1981 |
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