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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Les Diables):
"Si Les Diables procure encore aujourd'hui une expérience très intense, c'est dû, entre autres, à sa réalisation flamboyante, baroque, emphatique (...). Les images, magistralement composées et éclairées, emportent le spectateur dans un déluge vertigineux de folie et de violence." Citizen Poulpe "Oeuvre majeure du cinéma britannique, Les Diables est un film référence, doté d'une symbolique très forte, interprété par de grands comédiens et dégageant une atmosphère bizarre, mais c'est aussi un véritable pamphlet anticonformiste et libéral, qui met en évidence les tendances subversives de son auteur. Alors, Les Diables serait-il le chef d'oeuvre de Ken Russell ? Probable..." Scifi Universe - Nicolas L. "Les Diables est une vive critique du comportement de l'Église à l'époque des faits (authentiques) qu'il relate, et plus généralement des rapports entre la religion et le pouvoir." Citizen Poulpe "Les Diables proposent un spectacle irrévérencieux, iconoclaste et, à certains égards anti religieux... mais ne rejetant certainement pas la foi pour autant : Grandier (...) porte le message du Christ, dans une forme certes non approuvée par l'église, mais sans doute plus proche de celle voulue par Jésus. Plus encore, torturé par Laubardemont et l'inquisiteur Barre, il s'élève lui-même au martyre, payant au prix de ses souffrances son intégrité (...)." Sueurs Froides "Difficile de parler du film sans évoquer le scandale qu'il provoqua à sa sortie, et le destin chaotique auquel ce scandale le condamna - même s'il contribua indéniablement à l'aura qui entoure, aujourd'hui encore, l'oeuvre de Ken Russell, cinéaste totalement à part dans le paysage cinématographique britannique (disparu en novembre 2011). Interdit dans plusieurs salles en Angleterre à l'époque, Les Diables suscita une telle polémique qu'il subit d'emblée de violents remontages, sur lesquels le metteur en scène perdit rapidement le contrôle. Des coupures supplémentaires furent effectuées dans le cadre de sa sortie aux États-Unis, où il fut - comme en Angleterre - interdit aux moins de 18 ans." Citizen Poulpe "Raide, figée et frémissante dans l'alcôve du couvent, déchaînée et avide de désir dans ses rêves, Vanessa Redgrave est extraordinaire pour exprimer la folie grandissante de son personnage. (...) Russell alterne les séquences romantiques élégiaques pour le couple Grandier/Madeleine et dérapages graphiques divers pour Jeanne avec notamment des séquences de masturbation frénétiques." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Les Diables est le film le plus controversé de la carrière de Ken Russell et l'un de ses chefs-d'oeuvre. Le projet arrive à point nommé pour Russell, qui aura distillé son sens de la provocation avec une audace croissante au fil de ses premières productions de cinéma (...). Un Cerveau d'un milliard de Dollars (1967) apportait une folie et un excès contagieux dans la très sérieuse et cérébrale série d'espionnage Harry Palmer. Women in Love (1969) témoignait d'une sensualité audacieuse pour cette adaptation de D.H. Lawrence et dévoilait le temps d'une scène le thème récurrent chez Russell de l'homosexualité qui se révèlerait explicitement dans le biopic de Tchaïkovski, The Music Lovers (1970). Chacune de ces tentatives sera couronnée de succès malgré les scandales, et c'est un Ken Russell en pleine confiance et sûr de son art qui va s'attaquer à Les Diables." Dvd Classik "En 2004, Ken Russell a réalisé la reconstitution de son film selon son montage originel, donc sans les multiples coupures qui ont toujours été effectuées par la distribution. Cette version originelle a déjà été présentée lors d'un festival en 2014 et devrait finir un jour par être disponible pour le grand public." Guide Rapide - 2015 |
Synopsis usuel:
Résistant à la censure du pouvoir, l'abbé Urbain Grandier s’oppose à l’autorité du roi Louis XIII. Mais au couvent de ce dernier, l'inquiétante Mère Jeanne des Anges se déclare possédée par le diable. Voyant une occasion parfaite d’éliminer Grandier, le roi en profite pour l’accuser de sorcellerie. |
Sortie ciné : 29 octobre 1971 Box office France: 1 255 145 entrées cinéma |
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