|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle)):
"Une pléthore de qualificatifs est nécessaire pour cette oeuvre filmique qui restera comme une date ultime dans l'histoire des rapports amoureux dans le cinéma français." Il était une fois le cinéma "Comment je me suis disputé... est probablement l'un des films français, sinon le film français, ayant su le mieux traiter de la question amoureuse en la soulageant du poids d'une quelconque fatalité, d'une moindre définition mélodramatique." Il était une fois le cinéma "Comment je me suis disputé... (ma Vie Sexuelle) c'est la vie intime dans tous ses états, sexuelle, mais aussi spirituelle, amicale, relationnelle, sociale, le tout structuré par un motif central, la découverte de l'Autre." Cine Club de Caen "Là où Rohmer construit patiemment sa « comédie humaine » de film en film, de conte en... comédie, Desplechin l'embrasse en un film-somme, une sorte de grand ouvrage romanesque qui porterait le bilan d'une génération." Telerama "Film d'une densité thématique et d'une épaisseur romanesque inhabituelles dans le jeune cinéma français, Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) tient toutes les promesses de sa folle ambition. Travaillant la notion de temps, multipliant pistes et personnages, glissant fluidement de l'individu au groupe, Arnaud Desplechin signe là une oeuvre proliférante, à la fois rigoureusement maîtrisée et trouée d'appels d'air. Comment je me suis disputé... sera peut- être un grand film générationnel c'est déjà un grand film tout court." Les Inrocks "Avec son style aux confins de l'hyperréalisme et du glamour, Comment je me suis disputé... serait donc un film qui rassemble, prolonge, éventuellement clarifie un certain nombre de questions que l'on a pu pointer dans de nombreux récents films français : désarroi sentimental et professionnel, pessimisme d'époque, obsession morbide. Il exprime aussi un besoin de tourner une page, de boucler dans un même mouvement, un peu comme le faisait La Sentinelle, un épisode personnel de la vie d'un personnage et un épisode historique." Liberation "Drôle et dépressif, journal intime et roman d'aventures, cérébral et sexuel, Comment je me suis disputé... est un film aux multiples visages, et un coup de force réussi pour imposer une image rigoureuse et impressionnante du jeune cinéma." UniversCiné - Cahiers du Cinéma "Trois heures pour un film, c'est à la fois très court et très long. (...) le film peine à convaincre sur de nombreux aspects et notamment celui du scénario, passablement long et assommant. On assiste à un empilement de relations humaines à la nature contradictoire qui ne donne en rien la sensation de faire progresser le récit. Tout reste figé, dans l'attente d'un monde qui ne changera pas, de vérités que personne n'est intéressé de découvrir, d'un dénouement qui n'arrivera pas." Le Blog du Cinéma "Le plaisir de s'immerger dans le bain d'un film comme Comment je me suis disputé... se mêle à une parfaite conscience de son potentiel d'irritation (...). Dire que « c'est un film de bourgeois, avec des bourgeois et réalisé par des bourgeois pour des bourgeois », est vrai, mais relève pourtant d'une profonde et malsaine facilité." Il était une fois le cinéma "Arnaud Desplechin filme un microcosme qu'il connaît sur le bout des doigts. (...) il réussit le pari de rendre passionnantes les différentes histoires d'amour de Paul Dédalus, flamboyant personnage qui ne peut jouir qu'en vomissant une tonne de mots, des phrases dont le seul but est de magnifier la pensée. Aux premiers abords, la réticence est de rigueur. Dédalus est un être que l'on aime à détester, voire à frapper." Il était une fois le cinéma |
Synopsis usuel:
Paul, la trentaine, végète comme assistant de philosophie à la faculté de Nanterre. Il n’arrive ni à terminer sa thèse, ni à quitter Esther, qui partage sa vie depuis dix ans. Paul rencontre une fille. Mais il se trouve qu’elle est la fiancée de son meilleur ami. Insatisfait dans son travail et maladroit en amour, partagé entre l’auto-dérision et l’excès de sérieux vis-à-vis de lui-même, prisonnier de souvenirs d’enfance presque traumatisants, Paul se sent pris à plusieurs pièges… |
Sortie ciné : 12 juin 1996 Box office France: 256 816 entrées cinéma César 1997 : César du Meilleur jeune espoir masculin (Mathieu Amalric). |
|
|