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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Rois et reine):
"Rois et Reine est un conte baroque, l'osmose improbable mais souveraine de la tragédie pure et de l'absurde total. Tantôt pantelant d'émotion, tantôt plié de rire, on y suit, durant deux heures et demie qui passent comme un souffle, le parcours de deux « parallèles et bipèdes » (comme disait Sagan) qui se sont aimés autrefois (...)." Telerama "Rois et Reine est un film bouleversant sur la paternité, la reconnaissance et, en définitive, sur l'amour entre les êtres." Avori Alire "Ne vous laissez pas rebuter par la soi-disant longueur de ce petit bijou, 2h30, film le plus abouti et le moins noir de Arnaud Desplechin." Abus de Ciné "Film phare du cinéma français en 2004 (600 000 spectateurs, prix Louis-Delluc, prix Méliès, César du meilleur acteur), Rois et Reine mixe deux intrigues, l'une mélodramatique, l'autre burlesque. (...) Tout en ruptures de tons, Rois et Reine est un hommage au cinéma de genre, un film brutal, poignant et drôle, hanté par la mythologie, la question des origines, la paternité." Le Monde "Rois et Reine est une réflexion magnifique sur le deuil (d'une personne, d'une histoire) et la filiation. Souffrance et joie à la fois." Les Inrocks "Film à tiroir (de personnages, d'émotions contradictoires, de séquences autonomes et d'échelle de temps), Rois et Reine privilégie les cuts secs et visibles : répétition d'une même scène avec le jump cut au moment où Nora annonce la mort de son père à sa soeur, coupures sèches confrontant les histoires parallèles d'Ismaël et de Nora. Ce système de montage favorise le rapprochement d'émotions et d'images contrastées. Arnaud Desplechin se méfie de la narration linéaire car elle risque de se complaire dans les apparences que les personnes/personnages souhaiteraient pouvoir conserver. Comme il refuse de nous livrer la psychologie des personnages, les actions du film ont valeur de portrait." Critikat "Desplechin se révèle ici, plus encore que dans ses autres films, le grand héritier d'Ingmar Bergman avec son lot de théâtralisation et de fantasmes de personnages qui cherchent à échapper à l'enfermement en eux-mêmes. Personnages peut-être aveugles sur eux-mêmes, ils veulent être des personnages que la vie leur refuse d'être." Ciné Club de Caen "Le journal le Washington Post salue la « stimulante inventivité » du film et le San Francisco Chronicle souligne l'« abondante imagination de Desplechin » puis qualifie l'oeuvre de « délicieuse, gardant le spectateur impatient de voir ce qui va advenir, mais extrêmement riche, trop longue et difficile à digérer. Pourtant c'est une fête que nul ne voudrait manquer ». Effectivement, la presse aux États-Unis, à une seule exception, critique Rois et Reine sur sa longueur et son rythme parfois trop lent au regard des critères américains." Wikipedia "En contrepoint de l'ennui, de l'écoeurement dû au trop-plein de situations qui n'évoluent pas d'un poil, et d'une accumulation de plans qui, certes, révèle le styliste, il manque à Rois et Reine « l'expédition vers le vrai » (Franz Kafka) sans laquelle pas de cinéma, pas d'art de la fiction, pas d'universel, rien de monumental ou gracieux." Liberation - Marie-Anne Guérin "Marianne Denicourt fut la compagne d'Arnaud Desplechin au début des années 1990 (...). Elle a cru se reconnaître dans le personnage de Nora. Elle a reproché au cinéaste l'utilisation d'éléments douloureux de sa vie privée (...) elle l'attaqua en justice, en 2006 devant le tribunal de grande instance de Paris, lui réclamant 200 000 euros de dommages-intérêts. Elle fut cependant déboutée le 3 avril 2006 par le tribunal. Cette polémique et l'issue du procès sont par ailleurs devenues un cas d'école, fréquemment cité, concernant l'exercice pratique de la création artistique liée à l'utilisation de la vie privée d'une personne et de l'atteinte ou non à celle-ci." Wikipedia |
Synopsis usuel:
L’une, apparemment radieuse, s’apprête à se marier. L’autre, interné de force dans un hôpital psychiatrique, semble toucher le fond de l’abîme. Ces deux histoire disjointes fusionnent quand la future épouse propose à cet ancien amant qu’elle a passionnément aimé, d’adopter son fils, né d’un premier lit. |
Sortie ciné : 22 décembre 2004 Box office France: 540 988 entrées cinéma César 2005 : César du Meilleur Acteur (Mathieu Amalric). |
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