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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray El Clan):
"El Clan est un thriller argentin fascinant au succès mérité." Le Monde "(...) Pour ménager le suspense, et permettre aux spectateurs de découvrir “l’histoire dans un désordre angoissant”, Trapero a chamboulé la chronologie et jongle avec flash-backs et forwards. Un procédé de manipulation du public qui tranche avec les origines naturaliste du cinéaste, dont la maîtrise n’était pas aussi radicale à ses débuts. (...) Cerise sur le gâteau, une BO très travaillée, émaillée de standards rock/pop anglo-saxons." Les Inrocks "Derrière la façade d’une famille ordinaire se cache l’histoire d’un horrible fait divers, portée par un père de famille magnétique et glaçant. (...) Plus grand succès du cinéma argentin avec 2,5 millions de spectateurs dans son pays, ce thriller historique a été couronné du prix du meilleur réalisateur pour Pablo Trapero à la Mostra de Venise." Avoir Alire "Trapero dernier maîtrise à la perfection chacun de ses choix de mise en scène, qui varient en fonction de la situation présentée. Ainsi, s’il propose un travail précis du cadre pour les scènes du quotidien, de l’ordinaire, il chamboule volontairement les choses dès lors qu’un enlèvement a lieu, passant à une série de courts plans-séquence captivants - ce qu’affectionne particulièrement le réalisateur. Avec sa caméra à l’épaule et en mouvement nous voilà à l’intérieur de la voiture des ravisseurs et nous vivons le calme avant la tempête. (...) C’est cette volonté d’oser, de prendre des risques, qui fait d’El Clan une oeuvre aussi passionnante. (...) Mais à ces éléments notables s’ajoute au sein d’El Clan une vision pour le moins intelligente du montage (visuel et sonore). Car le réalisateur ne passe pas simplement d’une scène à une autre pour faire avancer l’histoire, mais il fait de son montage l’un des acteurs principaux de son oeuvre. Capable de faire ressentir des émotions paradoxales. C’est par exemple en montage alterné que Trapero va et vient d’une scène de torture à une scène de sexe, en juxtaposant les cris d’effroi aux cris de jouissances." Le Blog du Cinéma "En mettant en scène un fait divers inspiré des agissements du clan Puccio, Trapero dépeint l'horreur avec une froide distance et une sorte d'ironie, se focalisant sur les membres de cette étrange famille au fonctionnement peu catholique. (...) le réalisateur dénonce la collaboration active comme passive ainsi que la propension facile à détourner le regard, créant ainsi une intelligente parabole sur l'attitude de toute une population lorsque la dictature était encore en place en Argentine." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Tout est vrai dans le film et tout y est fou. Les enlèvements presque ridicules qui se terminent par des exécutions sommaires, une fois les rançons versées. Cette famille vivant tranquillement sans vouloir entendre les hurlements de ses victimes, enfermées dans sa cave. Et, une fois les crimes découverts, le déni de tout un pays, refusant de croire à la culpabilité de cette noble famille, dont le fils est la gloire de la nation... Le plus extravagant étant Arquímedes Puccio lui-même, surpris en flagrant délit, mais continuant à nier l'évidence, étudiant le droit durant ses années d'incarcération et devenant avocat à sa sortie, avant de mourir de sa belle mort en 2008." Telerama "Finissant comme il a commencé, dans une ambiance électrique et gonflée, El Clan est un film maîtrisé par son réalisateur, mélangeant une ambiance de gangster-movie aux réalités d’un film politique qui convoque les démons dont l’Argentine a encore bien du mal à se défaire. Mais tout comme on l’a constaté avec Denis Villeneuve et son Sicario, Pablo Trapero devrait faire attention à ne pas succomber à la surenchère en proposant des films de plus en plus maniérés qui l’éloignent de sa sobriété initiale." Ciné Séries Mag |
Synopsis usuel:
Dans l’Argentine du début des années quatre-vingt, un clan machiavélique, auteur de kidnappings et de meurtres, vit dans un quartier tranquille de Buenos Aires sous l’apparence d’une famille ordinaire. Arquimedes, le patriarche, dirige et planifie les opérations. Il contraint Alejandro, son fils aîné et star du rugby, à lui fournir des candidats au kidnapping. Alejandro évolue au prestigieux club Le Casi et dans la mythique équipe nationale, Los Pumas. Il est ainsi, par sa popularité, protégé de tous soupçons. |
Sortie ciné : 10 février 2016 Box office France: 106 917 entrées cinéma |
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