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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Rosa la rose, fille publique):
"Paul Vecchiali propose une délicate romance, fidèle à son cinéma intimiste et artisanal." Avoir Alire "Il n'est pas deux cinéastes comme Vecchiali (Corps à coeur, En haut des marches...). C'est qu'il fait sien le langage des mélos d'antan, partant des stéréotypes pour mieux exprimer l'intensité des sentiments. Résolument à contre-courant, loin des produits de marketing, il ose raconter et filmer des histoires simples et primordiales." Universciné - L'Evènement du Jeudi, Michel Boujut, 13/03/1986 "Paul Vecchiali égrène son romanesque des faubourgs, ses passions à quatre sous, ses fleuves de larmes kitsch pour esthètes et midinettes. On sourit et on s'émeut. On retrouve le parfum enchanteur des vieux films, même si on le devine à jamais perdu." Universciné - Telerama, Fabienne Pascaud, 12/03/1986 "Le cinéma de Paul Vecchiali puise son lyrisme dans une écriture contrastée, directe, généreuse et flamboyante. Ainsi, le personnage brillamment interprété par Marianne Basler - prostituée au grand coeur, préférée d'un maquereau cinéphile – apparaît dans Rosa la Rose, Fille publique comme un spectacle à lui tout seul, mais ce spectacle référencé (Ophuls, Demy, Renoir encore et toujours) n'en est pas moins vivant, enraciné dans un réalisme populaire bouillonnant de gouaille, de poésie et de musique." Les Inrocks "Amoureux du cinéma français des années trente et quarante, obsédé par l'idée de retrouver le paradis perdu des comédies musicales, Paul Vecchiali peuple son film de silhouettes pittoresques et de seconds rôles qu'il fait, à l'occasion, chantonner et esquisser quelques pas de danse." Universciné - Le Matin, Michel Perez, 19/03/1986 "Certes, Marianne Basler est fort belle, dans le rôle de Rosa, éphémère comme la rose. Mais on s'amuse davantage dans la compagnie des autres, performances secondaires, qui, chez Vecchiali, sont toujours les interventions capitales. Car c'est par là que passe l'humour, l'insolence et que s'éclaire tout à fait le sujet." Universciné - Le Quotidien de Paris, Anne de Gasperi, 18/03/1986 "Paul Vecchiali : « J'ai écrit mon film en huit heures. D'un trait. Je l'avais rêvé. J'avais tout rêvé. C'est venu comme ça en une nuit. C'était lumineux et clair. Rosa m'a demandé un gros effort sur moi-même parce que c'est un mélodrame à la fois plus romantique et plus froid que Corps à coeur. Il y a ici un plus grand contrôle parce qu'on y a tous les éléments de la tragédie : unité de temps, de lieu, d'action. Surtout le malentendu. »" Wikipedia "S'il y a une erreur qu'il convient assurément de ne pas commettre à propos de Rosa la Rose, ce serait de vouloir juger le film à l'aune de cet increvable souci de vraisemblance qui survit curieusement à tous les aggiornamentos critiques et fait encore parfois se fourvoyer les meilleurs esprits. Comme si, parce qu'il y est question de prostitution, il eût fallu adopter un ton vaguement sociologique ou se donner quelque autre caution sur un sujet qui reste, bien qu'on en ait, toujours troublant." Universciné - Libération, Louella Interim, 21/03/1986 "Plus qu'à la direction d'acteurs, Vecchiali est attentif à noter tes petites sensations qui font une ambiance (la lumière, la température, même les odeurs) ; on sent qu'il préfère créer simplement des conditions de jeu où il laisse ses comédiens évoluer : ce qui peut donner ce superbe plan où Evelyne Buyle danse seule un tango lent devant la grande table figée du banquet, mais aussi (très souvent) des scènes qui manquent singulièrement de rythme et de crédibilité." Universciné - Cahiers du Cinéma, Stéphane Braunschweig, Mars 1986 |
Synopsis usuel:
Une prostituée, saine et radieuse, rencontre le grand amour le jour de ses vingt ans. Le Milieu risque de ne pas accepter la situation et Rosa devra choisir entre l’amour et la mort. |
Sortie ciné : 2 mars 1986 Box office France: 177 726 entrées cinéma |
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