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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray L'Oeuvre sans auteur - Partie 1):
"Florian Henckel von Donnersmarck, qui nous avait sidérés en 2007 avec La Vie des Autres, frappe encore plus fort avec L'Oeuvre sans Auteur, mêlant, une fois de plus, la grande et la petite Histoire, les passés familiaux tragiques et les grands chambardements qui ont secoué l'Allemagne. (...) L'Oeuvre sans Auteur, parvient à captiver du bout en bout de ses trois heures." Le Parisien "L'Oeuvre sans Auteur est une chronique de trente ans d'histoire de l'art en Allemagne, un film inspiré de la vie du peintre Gerhard Richter." L'Express "Malgré une mise en scène des plus classiques, le film montre une nouvelle fois, à travers l'acte de création, la manière dont l'Allemagne règle ses comptes avec sa propre histoire. Instructif et flamboyant." Avoir Alire "Florian Henckel Von Donnersmarck prend son temps tout en relançant constamment son récit. Il rejoint le réalisateur Clint Eastwood dans le classicisme de sa mise en scène, tirant jusqu'au mélo (...)." France Info "La force du film tient à sa manière d'opposer la violence de l'idéologie - l'horreur d'un montage symphonique montrant les victimes des bombardements de Dresde, la tyrannie de la propagande soviétique - et le pouvoir de l'art, matière sensuelle filmée en plans subjectifs dans laquelle les personnages s'immergent et se libèrent." Revue Etudes "L'Oeuvre sans Auteur est présenté en deux parties chronologiques (3h10 au total). Il est servi par des comédiens de qualité, mais peu « bankables » (...). Il est signé par un réalisateur dont l'insipide deuxième film, The Tourist (2010), avec Angelina Jolie et Johnny Depp, a saccagé les espoirs suscités par son premier, l'oscarisée Vie des Autres (2006). Et pourtant. S'il n'a toujours pas la grâce, s'il persiste à sacrifier l'esthétique à son propos et s'il abuse des scènes didactiques, Donnersmarck tient ici un sujet passionnant." L'Obs "Déroulant une première partie sans réelle surprise, l'approche du processus créatif n'étant pas passionnante, le récit prend des chemins plus inattendus dans sa deuxième, visant à la fois indépendance d'esprit et justice face à l'Histoire. Avec un scénario qui devient alors un peu plus retors, jouant d'un faux suspense pour mieux évoquer des destins individuels face à la grande Histoire, le film, porté par un casting plein de justesse, par moments poétique (les concerts de klaxons, les envolées amoureuses…), devient finalement émouvant et nostalgique." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "L'Oeuvre sans Auteur est un film de qualité allemande, comme on parlait de « qualité française » dans les années 1950 : une écriture solide, mais une réalisation souvent académique." Télérama "Le film s'anime un peu dans une seconde partie mettant en scène un groupe d'artistes (...) aux prises avec la création et les traumas du passé." La Croix "Parcourant l'histoire au pas de course, parfois de manière indigne - expédiant en quelques plans bâclés le gazage des malades mentaux par les nazis, puis avec encore plus de désinvolture la tragédie du bombardement de Dresde traité en deux vignettes - L'Oeuvre sans Auteur recourt, stylistiquement, aux équivalents cinématographiques de cet art pompier au service des pouvoirs totalitaires que son scénario dénonce." Slate |
Synopsis usuel:
À Dresde en 1937, le tout jeune Kurt Barnet visite, grâce à sa tante Elisabeth, l’exposition sur « l’art dégénéré » organisée par le régime nazi. Il découvre alors sa vocation de peintre. Dix ans plus tard, en 1947, en Allemagne de l'Est, étudiant aux Beaux-arts, Kurt peine à s'adapter aux diktats du « réalisme socialiste ». Tandis qu'il cherche sa voie et tente d’affirmer son style, il tombe amoureux d'Ellie. Mais Kurt ignore que le père de celle-ci, le professeur Seeband, médecin influent, est lié à lui par un terrible passé. Epris d’amour et de liberté, ils décident de passer à l’Ouest… |
Sortie ciné : 17 juillet 2019 Box office France: 141 179 entrées cinéma |
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