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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Barfly):
"Barfly est l'unique scénario original de Charles Bukowski qui, comme dans ses romans, relate crûment et sarcastiquement son existence d’épave. Barbet Schroeder se tire très bien de l’exercice en composant un portrait chaleureux et attachant du personnage et de son environnement." Les Inrocks - Vincent Ostria (1987) "Ce premier scénario de Charles Bukowski est quasiment autobiographique. Barbet Schroeder a su parfaitement l'adapter à l'écran, donnant de cet univers marginalisé une vision noire, violente, heurtée et souvent inspirée, tout en gardant une certaine dérision qui introduit un humour constant. Enfin, les comédiens - et tout particulièrement Mickey Rourke - sont étonnants." Plans américains - Guide des films de Jean Tulard "A l'occasion d'une rétrospective de son oeuvre au Centre Pompidou, le cinéaste Barbet Schroeder revient sur sa collaboration très alcoolisée avec l'écrivain Charles Bukowski, dont il s'est inspiré pour réaliser Barfly : « Contrairement aux idées reçues, plus il s'alcoolisait, plus ses interventions gagnaient en profondeur. Bukowski était un cas unique d'alcoolique qui ne devenait pas plus idiot à mesure qu'il buvait." Télérama - Jérémie Couston "Bukowski est incarné littéralement par un Mickey Rourke lancé dans une transe douce et immobile, menton en avant, bouledogue meurtri sur la défensive, en attente de baston, face à une Faye Dunaway qui promène son élégance chiffonnée." Cinémathèqe "Malheureusement, quelques poncifs dramatiques (le personnage de l'éditrice) et des conventions peu réalistes (les bagarres homériques dont les participants sortent toujours sans la moindre égratignure, comme dans les vieux westerns) gâtent cette œuvre par ailleurs sans concession." Plans américains - 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon |
Synopsis usuel:
Henry Chinaski erre dans un Los Angeles intemporel où la nuit semble s’étirer à l’infini. Il boit, écrit des poèmes, réussit parfois à ramener une fille chez lui. Lorsque Henry rencontre Wanda, les deux marginaux s’accrochent brutalement l’un à l’autre dans un maelström de sentiments mêlant amour, ivresse, violence et folie. |
Sortie ciné : 2 septembre 1987 Box office France: 507 607 entrées cinéma |
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