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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Que viva Eisenstein !):
"(...) Lorsqu'Eisenstein se découvre gay, c'est un plus. L'apothéose : il jouit sans mesure de son amant, comme une provocation supplémentaire aux conventions de l'Ouest, à la morale de l'Est. C'est cette outrance que saisit Peter Greenaway, dans le style abracadabrant qui est le sien : rythme frénétique, écrans divisés, logorrhée sonore et visuelle." Telerama "Cinéaste esthète, Greenaway célèbre le génial Soviétique en faisant preuve comme lui d'une passion folle pour l'image et le montage. Son inventivité en matière visuelle est ici extraordinaire : magnifiques travellings latéraux, amples mouvements tournoyants de la caméra, gros plans saisissants, incrustations d'images d'archives d'Eisenstein et de ses films, split screen (écran divisé), utilisation du numérique au service notamment d'un montage rapide... On retrouve aussi, dans ces décors flamboyants et baroques, une très forte théâtralité." Avoir Alire - Jean-Claude Arrougé "Plastiquement très élégant, le film propose de nombreuses digressions de montage qui finissent par aseptiser complètement la mise en scène. On ne sait si c'est le fait de faire un film sur le »père du montage » qui a laissé pousser des ailes au réalisateur, mais cette surcharge de splitscreens et autre mouvements de caméra incongrus finissent par lasser au terme des deux heures de film." Ciné Séries Mag "Que viva Eisenstein ! est une vision iconoclaste mais également boursouflée du séjour au Mexique de Sergueï Eisenstein, assimilé à un bouffon capricieux et sensuel pour qui le cinéma est un lointain souvenir." Les Inrocks "Un déluge d'horreur nous assaille à la vision de cette sordide farce : (...) Greenaway sombre dans les pires travers du biopic à la naphtaline, en croyant les éviter un à un. L'outrance baroque de cet Eisenstein qu'il s'imagine en clown lourdingue et farfelu, (...) enfonce le personnage incarné par Elmer Bäck dans une tourbe de cabotinages et de gesticulations proprement insupportables." L'Obs "Le film est formellement assez audacieux, (...) mais il s'embourbe assez vite dans des dialogues ininterrompus entre Eisenstein et son amant. Beaucoup trop bavard, le film s'offre même une scène centrale de dépucelage homosexuel interminable ou l'ennui pèse beaucoup plus lourd que la moindre sensualité ou tout autre sentiment qu'aurait voulu faire passer le réalisateur." Les Chroniques de Cliffhanger & Co |
Synopsis usuel:
En 1931, fraîchement éconduit par Hollywood et sommé de rentrer en URSS, le cinéaste Sergueï Eisenstein se rend à Guanajuato, au Mexique, pour y tourner son nouveau film, Que Viva Mexico ! Chaperonné par son guide Palomino Cañedo et confronté aux désirs et aux peurs inhérents à l’amour, au sexe et à la mort, Eisenstein vit à Guanajuato dix jours passionnés qui vont contribuer à façonner le reste de sa vie. |
Sortie ciné : 8 juillet 2015 |
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