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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Duel au soleil):
"Le producteur du film voulait refaire un nouvel Autant en Emporte le Vent, la différence est que pour Duel au Soleil, il y avait derrière la caméra King Vidor qui fit du film une oeuvre monumentale, grandiose, tonitruante, parfois grandiloquente et mélodramatique, mais toute entière empreinte d'une fureur démesurée où se mêlent et même s'entrechoquent les passions les plus folles et les plus paroxysmiques qui ne peuvent s'éteindre que dans le sang et la mort." Le films du Far-West "Voici un film qui parvient à résister à sa production chaotique ( pas moins de 6 réalisateurs qui ont succédé à King Vidor derrière la caméra, un budget qui explose, un montage dantesque dû au kilométrage incroyable de négatifs ). Mais le film à sa sortie est un triomphe auprès du public. Pourtant il s'agit d'un western qui sort des canons du genre. Il y est plus question de passions amoureuses tourmentées entre deux frères rivaux et une jeune femme (donc du mélo) , que des sujets canons du genre Western." Rue du Cine "Le film est une suite presque ininterrompue de séquences dramatiques au fort climax. Duel au Soleil se rattache au western surtout au travers de son décorum et par son arrière-plan historique qui décrit la sempiternelle lutte entre un grand propriétaire terrien et les responsables du chemin de fer." Dvd Classik "La peau tannée par le maquillage destiné à rendre sa condition de métisse, Jennifer Jones impose un jeu sulfureux, sensuel, lascif et particulière démonstratif tant dans les expressions de son visage que de la façon de se mouvoir. Elle impose là la figure la plus marquante qu'on lui connaisse à l'écran, celui de la jeune fille innocente et sexuée à la fois, aux instincts sauvages qui lui attirent le violent désir des hommes." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Le film s'avère donc une longue ode à l'amour fou et destructeur, synonyme de soumissions et d'humiliations mutuelles. Toutes les étreintes entre Gregory Peck et Jennifer Jones se font dans la lutte, à la limite du viol." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Cette histoire d'amour fou et de femme fatale pourrait paraître exagérée, ridicule, mais la beauté du film, la puissance de la mise en scène et le talent des interprètes en font un magistral poème de désir et de mort, très audacieux pour le prude cinéma hollywoodien de l'époque. Un chef-d'oeuvre." Telerama "Les séquences grandiloquentes sont légions (...). Tout n'est constamment qu'excès, à l'image de la mégalomanie du producteur du film - Selznick - , jusque dans la durée excessive (2h26 tout de même) d'une histoire qui aurait pu être plus condensée." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste |
Synopsis usuel:
Scott Chavez a tué sa femme indienne et son amant. Avant d'être pendu, il confie sa fille Pearl à son premier amour, Belle, maintenant épouse du sénateur Mc Canles. Les fils du sénateur, Jesse, le gentleman et Lewt, le voyou, voient avec grand intérêt l'arrivée de la belle sauvageonne qui est également convoitée par Jubal, un prédicateur qui voudrait la protéger du mal... |
Sortie ciné : 1er janvier 1949 Box office France: 3 719 544 entrées cinéma |
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